Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Les Gauloises bleues
Michel Cournot
France / 1967
Avec Annie Girardot, Jean-Pierre Kalfon, Bruno Cremer.
Ivan, chômeur sans domicile, fait la connaissance de Jeanne, une jeune serveuse. Ils se marient et, bientôt, Jeanne est enceinte. En attendant la naissance de son fils, Ivan revoit son existence passée.
« La direction d’acteurs est impeccable. En deux scènes capitales, Annie Girardot, tour à tour agressive, pudique, humiliée, balaie le mélodrame et nous émeut par les moyens les plus simples. Jean-Pierre Kalfon traîne la lassitude de ceux qui ont l’habitude de se cogner au malheur. Il est excellent, comme est excellent dans un rôle épisodique Bruno Cremer ». (Jean de Baroncelli, Le Monde, 2 septembre 1968)
Générique
Réalisateur :
Michel Cournot
Scénariste :
Michel Cournot
Dialoguiste :
Michel Cournot
Sociétés de production :
Les Films Ariane (Paris), Les Artistes Associés, Les Films 13 (Paris)
Directeur de production :
Pierre Laurent
Directeur de la photographie :
Alain Levent
Décorateurs :
Guy Littaye, Michel Cournot
Monteur :
Agnès Guillemot
Photographe de plateau :
Pierre Zucca
Interprètes :
Annie Girardot (La mère), Jean-Pierre Kalfon (Ivan à 30 ans), Bruno Cremer (Le père), Georges Demestre (Ivan enfant), Nella Bielski (Jeanne), Francis Girod, Karina Gondi (l'assistante), Dominique Vielleville (le prêtre communiste), Claude Parent, José Varela, Anne Wiazemsky (soigneuse 3), Tsilla Chelton (la déléguée), Henri Garcin (l'ambulancier), Jean Lescot (rabatteur 2), Marcello Pagliero (le forain), François Périer (voix du juge)
« La direction d’acteurs est impeccable. En deux scènes capitales, Annie Girardot, tour à tour agressive, pudique, humiliée, balaie le mélodrame et nous émeut par les moyens les plus simples. Jean-Pierre Kalfon traîne la lassitude de ceux qui ont l’habitude de se cogner au malheur. Il est excellent, comme est excellent dans un rôle épisodique Bruno Cremer ». (Jean de Baroncelli, Le Monde, 2 septembre 1968)