Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
État de siège
Costa-Gavras
France-Italie-RFA / 1972 / 121 min
Avec Yves Montand, Renato Salvatori, Jacques Weber, Jean-Luc Bideau.
En Uruguay, dans les années 1970, un membre d'une organisation humanitaire est enlevé par un groupe de révolutionnaires.
« Avec Costa-Gavras, il s'est passé quelque chose. J'ai découvert plus qu'un metteur en scène, un complice, qui avait décelé ma véritable personnalité. C'est le genre de complicité que j'ai retrouvée plus tard avec Claude Sautet et Alain Corneau, entre autres. Et puis, j'avais dépassé la quarantaine et je crois que la plupart des comédiens hommes trouvent leur véritable équilibre à partir de quarante ans. C'est en tout cas ce qui s'est passé pour moi. » (Yves Montand)
Générique
Réalisateur :
Costa-Gavras
Assistant réalisateur :
Jean-Pierre Dutilleux
Scénaristes :
Costa-Gavras, Franco Solinas
Sociétés de production :
Reggane Films, Unidis, Dieter Geissler Filmproduktion GmbH (München), EIA - Euro International Film (Roma)
Producteur :
Jacques Perrin
Distributeur d'origine :
Valoria Films (Paris)
Directeurs de la photographie :
Pierre-William Glenn, Silvio Caiozzi
Compositeur de la musique originale :
Mikis Theodorakis
Monteur :
Françoise Bonnot
Script :
Sylvette Baudrot
Interprètes :
Yves Montand (Philip Michaële Santore), Renato Salvatori (Le capitaine Lopez), O.E. Hasse (Carlos Ducas), Jacques Weber (Hugo), Jean-Luc Bideau (Este), Maurice Teynac (Le ministre de l'Intérieur), Jacques Perrin (l'opérateur téléphonique)
« Avec Costa-Gavras, il s'est passé quelque chose. J'ai découvert plus qu'un metteur en scène, un complice, qui avait décelé ma véritable personnalité. C'est le genre de complicité que j'ai retrouvée plus tard avec Claude Sautet et Alain Corneau, entre autres. Et puis, j'avais dépassé la quarantaine et je crois que la plupart des comédiens hommes trouvent leur véritable équilibre à partir de quarante ans. C'est en tout cas ce qui s'est passé pour moi. »
(Yves Montand)