En raison des ralentissements liés aux contrôles de sécurité à l’entrée du bâtiment, nous vous conseillons d’arriver 30 minutes avant le début de votre séance, les retardataires ne pouvant être acceptés en salle. Nous vous rappelons que les valises et les sacs de grande taille ne sont pas acceptés dans l’établissement.
Avec Yves Montand, Renato Salvatori, Jacques Weber, Jean-Luc Bideau.
En Uruguay, dans les années 1970, un membre d'une organisation humanitaire est enlevé par un groupe de révolutionnaires.
« Avec Costa-Gavras, il s'est passé quelque chose. J'ai découvert plus qu'un metteur en scène, un complice, qui avait décelé ma véritable personnalité. C'est le genre de complicité que j'ai retrouvée plus tard avec Claude Sautet et Alain Corneau, entre autres. Et puis, j'avais dépassé la quarantaine et je crois que la plupart des comédiens hommes trouvent leur véritable équilibre à partir de quarante ans. C'est en tout cas ce qui s'est passé pour moi. » (Yves Montand)
Générique
Réalisateur :
Costa-Gavras
Assistant réalisateur :
Jean-Pierre Dutilleux
Scénaristes :
Costa-Gavras, Franco Solinas
Sociétés de production :
Reggane Films, Unidis, Dieter Geissler Filmproduktion GmbH (München), EIA - Euro International Film (Roma)
Producteur :
Jacques Perrin
Distributeur d'origine :
Valoria Films (Paris)
Directeurs de la photographie :
Pierre-William Glenn, Silvio Caiozzi
Compositeur de la musique originale :
Mikis Theodorakis
Monteur :
Françoise Bonnot
Script :
Sylvette Baudrot
Interprètes :
Yves Montand (Philip Michaële Santore), Renato Salvatori (Le capitaine Lopez), O.E. Hasse (Carlos Ducas), Jacques Weber (Hugo), Jean-Luc Bideau (Este), Maurice Teynac (Le ministre de l'Intérieur), Jacques Perrin (l'opérateur téléphonique)
« Avec Costa-Gavras, il s'est passé quelque chose. J'ai découvert plus qu'un metteur en scène, un complice, qui avait décelé ma véritable personnalité. C'est le genre de complicité que j'ai retrouvée plus tard avec Claude Sautet et Alain Corneau, entre autres. Et puis, j'avais dépassé la quarantaine et je crois que la plupart des comédiens hommes trouvent leur véritable équilibre à partir de quarante ans. C'est en tout cas ce qui s'est passé pour moi. »
(Yves Montand)