Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
La Voleuse
Jean Chapot
France-RFA / 1966 / 90 min
Avec Romy Schneider, Michel Piccoli, Hans Christian Blech.
Julia avoue à son mari avoir à dix-neuf ans eu un enfant qu'elle a abandonné aux bons soins des Kostrowicz, un couple stérile. Six ans plus tard, elle se met en tête de renouer avec le petit garçon, pour la plus grande douleur de son père adoptif.
« Jean Chapot m'a proposé le rôle de Julia. Dès la première lecture du synopsis, mon opinion était faite : c'était un rôle de rêve, offrant la possibilité d'exprimer la gamme complète des sentiments éprouvés par une jeune femme, du chagrin à la passion exacerbée, en passant par la résignation. Je serais capable de me montrer douce et tendre, mais aussi de hurler, de me déchaîner comme une possédée. » (Romy Schneider)
Générique
Réalisateur :
Jean Chapot
Assistant réalisateur :
Peter Fleischmann
Scénaristes :
Jean Chapot, Alain Fatou
Adaptateur :
Marguerite Duras
Dialoguiste :
Marguerite Duras
Sociétés de production :
Chronos Films (Paris), Procinex, Hans Oppenheimer Film GmbH (Berlin)
Producteurs :
Claude Jaeger, Hans Oppenheimer
Directeur de production :
Ulrich Pickardt
Distributeur d'origine :
C.F.D.C. - Compagnie Française de Distribution Cinématographique (Paris)
Directeur de la photographie :
Jean Penzer
Ingénieur du son :
Gunther Kortwich
Compositeur de la musique originale :
Antoine Duhamel
« Jean Chapot m'a proposé le rôle de Julia. Dès la première lecture du synopsis, mon opinion était faite : c'était un rôle de rêve, offrant la possibilité d'exprimer la gamme complète des sentiments éprouvés par une jeune femme, du chagrin à la passion exacerbée, en passant par la résignation. Je serais capable de me montrer douce et tendre, mais aussi de hurler, de me déchaîner comme une possédée. » (Romy Schneider)