Générique
Réalisateur :
Christian de Chalonge
Assistants réalisateurs :
Bernard Bolzinger, Olivier Horlait, Jean Brunet
Scénaristes :
Pierre Dumayet, Christian deChalonge
Auteur de l'oeuvre originale :
Robert Merle d'après le roman "Malevil"
Dialoguiste :
Pierre Dumayet
Sociétés de production :
NEF-Diffusion (Paris), Antenne 2, Les Films Gibé (Paris), C.D.G. (Paris), Télécip (Paris), Maki Films (Paris), Stella-Film GmbH (München)
Producteur :
Claude Nedjar
Directeur de production :
Georges Valon
Distributeur d'origine :
UGC - Union Générale Cinématographique
Directeur de la photographie :
Jean Penzer
Cadreur :
Yves Agostini
Ingénieur du son :
Pierre Gamet
Compositeur de la musique originale :
Gabriel Yared
Décorateur :
Max Douy
Costumier :
Ghislain Uhry
Maquilleurs :
Eric Muller, Catherine Demesmaeker
Monteur :
Henri Lanoë
Script :
Colette Crochot
Régisseurs :
Christian Danzas, Jacques Schaeffer
Directeur de casting :
Margot Capelier
Coordinateurs des effets spéciaux :
Jacques Martin, André Trielli
Photographe de plateau :
Moune Jamet
Interprètes :
Michel Serrault (Emmanuel Comte), Jacques Dutronc (Colin), Jacques Villeret (Momo), Jean-Louis Trintignant (Fulbert), Hanns Zischler (le vétérinaire), Robert Dhéry (Peyssou), Pénélope Palmer (Evelyne), Jean Leuvrais (Bouvreuil), Emilie Lihou (La Menou), Jacqueline Parent (Kathy), Eduard Linkers (Fabrelatre), Marianik Revillon (Emma), Reine Bartève (Judith), Bernard Waver (un gendarme), Guy Saint-Jean (un gendarme), Jules Bergman, Olivier Besson, Stéphane Besson, André Cerf, Oscar Freitag, Béatrice Houplain, Marianne Wischmann
En 1980, Christian de Challonges adapte, très librement et avec le concours de Pierre Dumayet, un célèbre roman de Robert Merle. Malevil, le film, imagine la survie d'une poignée de villageois après une catastrophe nucléaire. Sous la direction de Michel Serrault, la petite communauté s'organise avant de découvrir l'existence d'autres survivants, menés par le moins sociable Jean-Louis Trintignant. Serge Daney avait écrit du film à sa sortie : « Il y a donc un grand sujet dans Malevil. [...] C'est qu'on peut survivre à une catastrophe et rester médiocre, mesquin, franchouillard. C'est qu'on peut ne pas être à la hauteur de certains évènements ». De l'anticinéma-bis.