Générique
Réalisateur :
Norbert Carbonnaux
Assistants réalisateurs :
Jacques Deray, Georges Lautner
Scénariste :
Albert Simonin
Adaptateurs :
Albert Simonin, Norbert Carbonnaux
Dialoguiste :
Michel Audiard
Société de production :
Intermondia Films (Paris)
Producteur :
Jean-Paul Guibert
Directeur de production :
André Cultet
Distributeur d'origine :
The Rank Organisation
Directeur de la photographie :
Roger Dormoy
Cadreur :
René Ribault
Ingénieur du son :
Jean-Claude Marchetti
Compositeur de la musique originale :
Jean Prodromidès
Décorateur :
Jacques Colombier
Maquilleur :
Marcel Bordenave
Monteur :
Jacqueline Thiédot
Script :
Marie Darricades
Régisseur :
Eric Geiger
Photographe de plateau :
Jean Magis
Interprètes :
Fernand Gravey (Olivier Parker), Jean Richard (Fernand Galiveau), Jacques Duby (Amédée Lucas/Teddy Morton), Louis deFunès (Prosper), Micheline Dax (Lola d'Héricourt), Darry Cowl (le réceptionniste), Robert Murzeau (le tailleur), Max Révol (le général des Empois), Harry-Max (Cyril Mauvoisin), Guy Bedos (Fred Campuche), Jacques Dufilho (le garçon d'écurie), Hubert Deschamps (le sommelier du cabaret), Annick Tanguy (Magdalena), Pascal Mazzotti (le maître d'hôtel du restaurant), Bernard Musson (le maître d'hôtel de l'hôtel), Fulbert Janin (le lieutenant Ceccaldi), Jacques Ary (un inspecteur), Robert Le Fort (un garçon d'écurie), Jenny Astruc (une femme de chambre), Robert Mercier (le portier de l'hôtel), Andrès (le réceptionniste de l'hôtel), Paul Bisciglia (le groom), Max Dalban (l'homme obèse au hammam), Christian Brocard (le vendeur de tuyaux), Marius Gaidon (le garçon d'étage), Raymond Pierson (le masseur au hammam), Gaston Meunier (un dîneur), Roland Malet (un turfiste), Michel Dancourt, Anne Sandri
« Enfin un bon film comique ! » titre François Truffaut dans la revue Arts du 6 mars 1957. L’ensemble de la critique française salue Norbert Carbonnaux et sa Courte Tête truffée de gags et de trouvailles réjouissantes. Première rencontre professionnelle du trio à l’origine des Tontons flingueurs – Audiard, Simonin, Lautner –, c’est aussi la première apparition au cinéma pour Guy Bedos, parmi une troupe d’acteurs détonants, « au jeu moderne et combien efficace – Truffaut ne s’y trompe pas – comme Jean Richard, Louis de Funès et Darry Cowl, ces admirables comédiens formés par le cabaret, école dont on ne soulignera jamais trop les mérites. »