Séances
Séances passées
Mercredi 7 octobre 2020, 21h45 -
Salle Henri Langlois
→ 23h30 (102 min)
- Le Charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel / France-Italie-Espagne / 1972 / 102 min / DCP)
Lundi 26 mars 2018, 14h30 -
Salle Henri Langlois
→ 16h15 (105 min)
- Le Charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel / France-Italie-Espagne / 1972 / 105 min / DCP)
Vendredi 7 juillet 2017, 14h30 -
Salle Henri Langlois
→ 16h15 (105 min)
- Le Charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel / France-Italie-Espagne / 1972 / 105 min / 35mm)
Dimanche 29 septembre 2013, 19h30 -
Salle Henri Langlois
→ 21h15 (102 min)
- Le Charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel / France-Italie-Espagne / 1972 / 102 min / 35mm)
Jeudi 31 janvier 2013, 19h30 -
Salle Henri Langlois
→ 21h15 (102 min)
- Le Charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel / France-Italie-Espagne / 1972 / 102 min / 35mm)
Jeudi 31 janvier 2013, 19h30 -
Salle Henri Langlois
→ 21h15 (102 min)
- Le Charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel / France-Italie-Espagne / 1972 / 102 min)
Vendredi 18 mai 2012, 19h30 -
Salle Henri Langlois
→ 21h15 (102 min)
- Le Charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel / France-Italie-Espagne / 1972 / 102 min)
Vendredi 24 septembre 2010, 17h00 -
Salle Henri Langlois
→ 18h45 (102 min)
- Le Charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel / France-Italie-Espagne / 1972 / 102 min)
Vendredi 31 juillet 2009, 19h00 -
Salle Henri Langlois
→ 20h45 (102 min)
- Le Charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel / France-Italie-Espagne / 1972 / 102 min)
Dimanche 28 juin 2009, 19h00 -
Salle Henri Langlois
→ 20h45 (102 min)
- Le Charme discret de la bourgeoisie (Luis Buñuel / France-Italie-Espagne / 1972 / 102 min)
Buñuel, plus que jamais entomologiste, décrit les mœurs et les rites de la bourgeoisie française, à travers une galerie de personnages, tout aussi effrayants que drôles, pris au piège dans leur monde de pourriture dorée. Comme dans un jeu de cadavre exquis, le récit, d’abord ancré dans la réalité, bascule peu à peu du côté de l’inconscient et du songe, motif originel de l’œuvre bunuelienne.
« Buñuel s’est toujours appuyé sur le rêve. Surtout, je crois, dans Le Charme discret de la bourgeoisie où le rêve n’avait pas peur de dire son nom et d’en rire. Toute la séquence dans la rue vide, la rencontre de l’ami mort, puis de la mère, Buñuel l’avait vraiment rêvée. À dire vrai, il adore le rêve. Il reprend volontiers à son compte ce que disait André Breton de quelqu’un : » C’est un salaud. Il ne rêve jamais.« Il souhaiterait qu’on le laissât rêver longtemps. Quant à ses cauchemars, il avoue les trouver “délicieux”. (Jean-Claude Carrière)