Générique
Réalisateur :
Catherine Breillat
Assistants réalisateurs :
Richard Debuisne, Frédéric Monnet, Bruno Resnais, Alexandre Espinasse-Brasseur, Emmanuelle Pedron
Scénariste :
Catherine Breillat
Dialoguiste :
Catherine Breillat
Sociétés de production :
French Productions, CB Films - Catherine Breillat Films, Ciné Manufacture (Paris), Veranfilm
Producteurs :
Robert Boner, Alessandro Verdecchi, Nella Banfi
Producteurs associés :
Nella Banfi, Robert Boner, Alessandro Verdecchi
Producteur délégué :
Emmanuel Schlumberger
Producteur exécutif :
Pierre Sayag
Distributeur d'origine :
Pyramide Distribution (Paris)
Directeur de la photographie :
Laurent Dailland
Ingénieur du son :
Georges Prat
Mixeur :
Dominique Dalmasso
Compositeur de la musique originale :
Olivier Manoury
Décorateur :
Olivier Paultre
Costumier :
Malika Brahim
Maquilleur :
Muriel Baurens
Coiffeur :
Daniel Mourgues
Monteur :
Agnès Guillemot
Script :
Nathalie Bayle
Régisseur :
Claude Azoulay
Coordinateur des effets spéciaux :
Christian Bourqui
Photographe de plateau :
Martine Peccoux
Interprètes :
Claude Brasseur (l'inspecteur Georges Deblache), Lio (Barbara Théron), Nils Tavernier (Didier Théron), Roland Amstutz (le commissaire), Claude-Jean Philippe (Mannoni), Léa Gabrielle (Judy), Anny Chasson (Vishia), Lorella Di Cicco (Arlette), Alain Schlumberger (Jeannot), Rénos Mandis (Mohamed), Franck Karoui (Francky), Leila Samir (la danseuse arabe), Cyril Aventurin (le barman antillais), Gilbert Lechat (le truand joueur), Gaetano Falzone (le braqueur de la rue de Budapest), Giuseppe Santonocito (le voyou arabe), Mathieu Bauer (le voleur de mobylette), Jean-Pierre Gos (l'inspecteur de la criminelle), Claude Phor (le brigadier), Fabienne Mirbeau (l'infirmière avenante), Patrick Aurignac (un inspecteur), Pascal Gug (le préfet), Thierry Brout (un inspecteur), Sekautine (Chazier), Brigitte Lecordier (l’inspectrice), Michel Scotto di Carlo (un inspecteur), Franck Jazede (un inspecteur), Samuel Le Bihan (un inspecteur), Vincent Di Grande (un inspecteur), Michel Field (un inspecteur), Alberto Maccione (un inspecteur), Olivier Parnière (un inspecteur), Franck Karaoui (Franky), Hakim Hamadi (le barman du bar arabe)
Six ans après avoir écrit le scénario de Police, Breillat met à profit la version originale rejetée par Pialat et replonge sans complaisance dans l'univers d'un commissariat de quartier. Sale comme un ange commence comme un polar avec chasse aux dealers et propos machistes alcoolisés, avant de prendre des tournures de romance scabreuse. Breillat filme sans fard le désir sexuel entre un flic usé (Pierre Brasseur) et l'épouse docile (Lio) de son jeune partenaire (Nils Tavernier), observant les rapports de soumission et de jouissance d'un adultère trivial et finalement libérateur.