Générique
Réalisateur :
Yves Boisset
Assistants réalisateurs :
Marc Angelo, Paolo Barzman, Branka Soldo
Scénaristes :
Yves Boisset, Jean Curtelin
Auteur de l'oeuvre originale :
Robert Sheckley d'après la nouvelle "The Prize of Peril"
Dialoguiste :
Jean Curtelin
Sociétés de production :
Swanie Productions (Paris), TF1 Films Production, UGC - Union Générale Cinématographique, Top n°1, Avala Film (Belgrade)
Producteur délégué :
Norbert Saada
Directeurs de production :
Georges Valon, Mihajlo Rasic
Distributeur d'origine :
UGC - Union Générale Cinématographique
Directeur de la photographie :
Pierre-William Glenn
Cadreurs :
Jean-Claude Vicquery, Branko Ivatovic
Ingénieur du son :
Raymond Adam
Compositeur de la musique originale :
Vladimir Cosma
Décorateurs :
Serge Douy, Aleksandar Milovic
Costumiers :
Jacques Fonteray, Zagorka Stojanovic
Maquilleur :
Monique Granier
Monteurs :
Michelle David, Elisabeth Guido, Nicole Gauduchon
Script :
Claudine Taulère
Régisseurs :
Jacques Schaeffer, Slobodan Roganovic
Photographes de plateau :
Victor Rodrigue, Paul Apoteker
Interprètes :
Gérard Lanvin (François Jacquemard), Michel Piccoli (Frédéric Mallaire), Marie-France Pisier (Laurence Ballard), Bruno Cremer (Antoine Chirex), Andréa Ferreol (Elisabeth Worms), Gabrielle Lazure (Marianne), Henri-Jacques Huet (Victor Segal), Catherine Lachens (Madeline), Jean-Claude Dreyfus (Bertrand), Jean-Pierre Bagot (Alexandre), Steve Kalfa (Edouard), Julien Bukowski (Arnaud), Jean Rougerie (le président de la commission), Dragan Stueljanin (Roederer), Zlata Numanacic (Jacqueline), Jacques Chailleux (un téléspectateur interviewé)
Course à l'audience
La dénonciation du rôle des médias dans l'aliénation des masses et l'oppression des peuples a parfois fourni l'argument à la science-fiction littéraire ou cinématographique. Le film présenté ce soir contribue à une dénonciation du cynisme des industries du divertissement au service d'un pouvoir autoritaire, en imaginant un jeu télévisé au terme duquel les candidats doivent échapper à des tueurs lancés à leur trousses.
Réalisé en 1983, Le Prix du danger, confirme le gout de son auteur pour une forme d'intervention politique et l'expression d'un engagement personnel porté par la réalisation de films populaires. Le générique du film précise qu'il est adapté d'un roman de Robert Sheckley (sans doute le même qui a servi d'inspiration à La Dixième victime d'Elio Pétri.)
Jean-François Rauger