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À la fin de la Seconde Guerre mondiale, un pacifiste français est arrêté pour avoir refusé de combattre. En prison, il se lie d'amitié avec un prêtre allemand incarcéré pour le meurtre d'un résistant. Au prix des pires difficultés de censure et de financement, Autant-Lara aborde les thèmes de la moralité, de l'obéissance et de la religion avec une intense gravité. Plus qu'antimilitariste, son film, magnifiquement interprété (Suzanne Flon, primée au Festival de Venise), sonne comme un appel à la reconnaissance du statut des objecteurs de conscience. Sorti discrètement à la fin de la guerre d'Algérie, Tu ne tueras point est resté invisible jusqu'à aujourd'hui.
Restauration 2024 par Tamasa Distribution en collaboration avec la Cinémathèque française. Avec le soutien du CNC.
Générique
Réalisateur :
Claude Autant-Lara
Scénariste :
Jean Aurenche
Dialoguistes :
Jean Aurenche, Pierre Bost
Sociétés de production :
Lovcen Film (Belgrade), Gold Films Anstalt (Vaduz)
Directeurs de production :
Sonia Perovic, Yves Laplanche
Directeur de la photographie :
Jacques Natteau
Cadreur :
Zarko Tusar
Compositeurs de la musique originale :
Bernard Dimey, Charles Aznavour
Décorateurs :
Jacques Douy, Max Douy
Monteurs :
Inès Collignon, Madeleine Gug
Interprètes :
Laurent Terzieff (Jean-François Cordier), Horst Frank (Adler), Suzanne Flon (Madame Cordier), Mica Orlovic (Major), Marijan Lovric (Kapetan), Vladeta Dragutinovic (Stajn), Petar Banicevic (Rober), Jovan Gec, Ivo Jaksic, Zoran Milosavljevic, Zvonko Jovcic, Milivoje Popovic-Mavid, Aleksandar Stojkovic, Slobodan Simic
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, un pacifiste français est arrêté pour avoir refusé de combattre. En prison, il se lie d'amitié avec un prêtre allemand incarcéré pour le meurtre d'un résistant. Au prix des pires difficultés de censure et de financement, Autant-Lara aborde les thèmes de la moralité, de l'obéissance et de la religion avec une intense gravité. Plus qu'antimilitariste, son film, magnifiquement interprété (Suzanne Flon, primée au Festival de Venise), sonne comme un appel à la reconnaissance du statut des objecteurs de conscience. Sorti discrètement à la fin de la guerre d'Algérie, Tu ne tueras point est resté invisible jusqu'à aujourd'hui.