Séances
Séances passées
Mercredi 5 janvier 2022, 19h00 -
Salle Georges Franju
→ 23h10 (250 min)
- Cleopâtre (Joseph L. Mankiewicz / États-Unis / 1960 / 250 min / DCP / VOSTF)
Dimanche 12 décembre 2021, 14h00 -
Salle Henri Langlois
→ 18h10 (250 min)
- Cleopâtre (Joseph L. Mankiewicz / États-Unis / 1960 / 250 min / DCP / VOSTF)
Dimanche 8 novembre 2020, 14h15 -
Salle Henri Langlois
→ 18h25 (250 min)
- Cleopâtre (Joseph L. Mankiewicz / États-Unis / 1960 / 250 min / DCP / VOSTF)
Samedi 2 mai 2020, 19h30 -
Salle Henri Langlois
→ 23h40 (249 min)
- Cleopâtre (Joseph L. Mankiewicz / États-Unis / 1960 / 250 min / DCP / VOSTF)
Dimanche 7 juillet 2019, 14h30 -
Salle Henri Langlois
→ 18h40 (249 min)
- Cleopâtre (Joseph L. Mankiewicz / États-Unis / 1960 / 249 min / DCP / VOSTF)
Samedi 29 juin 2019, 14h15 -
Salle Henri Langlois
→ 18h25 (249 min)
- Cleopâtre (Joseph L. Mankiewicz / États-Unis / 1960 / 249 min / DCP / VOSTF)
Samedi 14 octobre 2017, 14h30 -
Salle Henri Langlois
→ 18h40 (250 min)
Séance présentée par Olivier Rajchman, auteur de « Hollywood ne répond plus »
- Cleopâtre (Joseph L. Mankiewicz / États-Unis / 1960 / 252 min / DCP / VOSTF)
Lundi 2 janvier 2017, 19h30 -
Salle Henri Langlois
→ 23h45 (252 min)
Projection en 2 parties avec entracte de 15 mn vers 21h30
- Cleopâtre (Joseph L. Mankiewicz / États-Unis / 1960 / 252 min / DCP / VOSTF)
Vendredi 23 décembre 2016, 19h30 -
Salle Henri Langlois
→ 23h45 (252 min)
- Cleopâtre (Joseph L. Mankiewicz / États-Unis / 1960 / 252 min / DCP / VOSTF)
Lundi 8 juillet 2013, 19h00 -
Salle Henri Langlois
→ 23h10 (249 min)
- Cleopâtre (Joseph L. Mankiewicz / États-Unis / 1960 / 249 min / 70mm / VO)
Titanesque, monumental, magistral… Cleopâtre est le film de tous les superlatifs, de tous les excès. Un cauchemar pour Mankiewicz, qui ne voulut plus en entendre parler, un désastre financier pour les studios, LA superproduction la plus légendaire de toute l’histoire du cinéma. C’est aussi l’écrin de la passion naissante entre deux acteurs mythiques, Taylor et Burton, le théâtre final de la rivalité entre Mankiewicz et le producteur Zanuck, un étincelant portrait de femme, et l’enterrement grandiose de la magnificence hollywoodienne, qui étincelle une dernière fois de mille feux. Un film maudit, devenu depuis un chef d’œuvre… pharaonique.