Générique
Réalisateur :
André De Toth
Assistant réalisateur :
James McMahon
Scénariste :
Crane Wilbur
Auteur de l'oeuvre originale :
John Hawkins d'après la nouvelle "Criminals mark", Ward Hawkins d'après la nouvelle "Criminals mark"
Adaptateurs :
Bernard Gordon, Richard Wormser
Société de production :
Warner Bros.
Producteur :
Bryan Foy
Directeur de la photographie :
Bert Glennon
Ingénieur du son :
Stanley Jones
Compositeur de la musique originale :
David Buttolph
Directeur artistique :
Stanley Fleischer
Monteur :
Thomas Reilly
Interprètes :
Gene Nelson (Steve Lacey), Sterling Hayden (le sergent Sims), Phyllis Kirk (Ellen), James Bell (Daniel O'Keefe), Ted De Corsia (Doc Penny), Charles Buchinsky (Ben Hastings), Ned Young (Gat Morgan), Jay Novello (Otto Essler), Walter " Dub " Taylor (Gus Snider), Richard Benjamin (Mark), Mack Chandler (Sully), James Hayward (Zenner), Timothy Carey (Johnny Haslett), Sandy Sanders (un policier), Harry Lauter (un policier), Dennis Dengate (un policier), Joe Bassett (un policier), Fred Coby (un policier), Diane Fortier (une radiodiffuseuse de la police), Mary Alan Hokanson (une radiodiffuseuse de la police), Ruth Lee (une radiodiffuseuse de la police), Eileen Elliott (une radiodiffuseuse de la police), Fritz Feld (un homme), Bill Schroff (un homme), Shirley O'Hara (une femme), Shirley Whitney (une femme), Charles Cane (un détective), Don Gibson (un détective), Gayle Kellogg (un détective), Bert Moorhouse (un détective), Jack Kenney (un détective), Harry Wilson (Parolee), Jack Woody (Stoolie), Hank Worden (le garde), Iris Adrian (la petite amie de Hasting), Mary Newton (Madame O'Keefe), Faith Kruger (une chanteuse de l'armée du salut), Tom Clarke (un chanteur de l'armée du salut), Guy Wilkerson (un vagabond), Lyle Latell (un vagabond), John Veitch (le policier de l'information)
Film également connu sous le titre The City is Dark.
Des accents d’Asphalt Jungle de John Huston (la préparation du hold-up), ou de La Maison dans l’ombre de Nicholas Ray (Sterling Hayden, ici bourru et violent comme l’était Robert Ryan). Des comédiens aux physiques marqués. Du rythme, une urgence, une tension permanente. La nuit et la pluie. Des décors naturels, une photographie proche du reportage, qui creusent une veine documentaire voulue par le réalisateur… André de Toth passe Los Angeles à la peinture noire, pour mieux cerner sa face cachée, sombre.