Générique
Réalisateur :
Jerry Lewis
Assistant réalisateur :
Ralph Axness
Scénaristes :
Jerry Lewis, Bill Richmond
Société de production :
Paramount Pictures
Producteur :
Jerry Lewis
Directeur de la photographie :
W. Wallace Kelley
Ingénieur du son :
Charles Grenzbach
Compositeur de la musique originale :
Walter Scharf
Auteurs des chansons originales :
Harry Warren "Bang tail", Jack Brooks "Bang tail"
Interprète des chansons originales :
Harry James "Bang tail"
Directeurs artistiques :
Hal Pereira, Ross Bellah
Décorateurs :
Sam Comer, James W. Payne
Costumier :
Edith Head
Maquilleurs :
Wally Westmore, Nellie Manley
Monteur :
Stanley E. Johnson
Coordinateur des effets spéciaux :
John P. Fulton
Interprètes :
Jerry Lewis (Herbert H. Heebert), Helen Traubel (Helen N. Wellenmellon), Kathleen Freeman (Katie), Hope Holiday (l'anxieuse), George Raft (dans son propre rôle), Pat Stanley (Fay), Harry James (dans son propre rôle), Marty Ingels (Marty), Buddy Lester (Buddy), Gloria Jean (Gloria), Jack LaLanne (dans son propre rôle), Westbrook Van Voorhis (dans son propre rôle), Sylvia Lewis (Sylvia), Eddie Quillan, Roscoe Ates, Jack Kruschen, Alex Gerry, Doodles Weaver, Dee Arlen, Francesca Bellini, Vicki Benet, Patricia Blair, Lilian Briggs, Bonnie Evans, Jacqueline Fontaine, Marianne Gaba, Gretchen Houser, Karyn Kupcinet, Paula Lane, Mary LaRoche, Shary Layne, Mary LeBow, Ann McCrea, Daria Massey, Faye Michael Nuell, Madlyn Rhue, Caroline Richter, Sheila Rogers, Nancy Root, Lynn Ross, Joan Staley, Kay Tapscott, Patty Thomas, Gloria Tracy, Meri Welles, Beverly Wills
Grandiose, musical, onirique et coloré, le deuxième film de Jerry Lewis a tout du show hollywoodien. Un décor hallucinant (une maison de poupées géante), des numéros sophistiqués, des répliques cultes (« Geronimo ! ») et des gags épatants. Nul besoin d'une intrigue subtile (un misogyne converti accepte sans le savoir une place de domestique dans une pension pour demoiselles), le comique destructeur de Jerry mis en scène dans une énumération de saynètes déjantées suffit à plonger le spectateur au cœur d'un virtuose ballet graphique. La caméra est mobile, libre d'emprunter les couloirs, les escaliers et de traverser toutes les portes, alors tout devient possible, comme transformer le désordre et la puérilité en un chef-d'œuvre du burlesque.