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Avec Giulietta Masina, Anthony Quinn, Richard Basehart.
Gelsomina est vendue par sa mère à Zampano, un saltimbanque qui la brutalise et ne cesse de la tromper. Ils partent ensemble sur les routes, vivant misérablement du numéro de Zampano. Surgit Le Fou, violoniste et poète, qui seul sait parler à Gelsomina.
« Il était une fois un jeune homme au naturel pessimiste, celte, rêveur, maniaque, grand voyageur, qui avait lu Giraudoux et Arsène Lupin à douze ans et dont la passion dominante était le cinématographe. Ce jeune homme alla voir La Strada. Il vit ce film trois fois en deux jours. Peut-être continuerait-il. Il lui semblait fort possible d'aller voir La Strada, comme cela, en passant, par jeu ou par tristesse, jusqu'à la fin de sa vie, qui pourrait être longue. » (Chris Marker)
Générique
Réalisateur :
Federico Fellini
Assistants réalisateurs :
Moraldo Rossi, Paolo Nuzzi
Auteur de l'adaptation française :
Raymond Queneau
Dialoguiste :
Tullio Pinelli
Société de production :
Ponti-De Laurentiis Cinematografica
Producteurs :
Carlo Ponti, Dino De Laurentiis
Directeur de production :
Luigi Giacosi
Distributeur d'origine :
Les Films du Centaure
Directeur de la photographie :
Otello Martelli
Cadreur :
Roberto Gerardi
Ingénieur du son :
Aldo Calpini
Compositeur de la musique originale :
Nino Rota
Décorateurs :
Mario Ravasco, Brunello Rondi
Maquilleur :
Eligio Trani
Monteur :
Leo Catozzo
Script :
Narciso Vicario
Régisseur :
Luigi Giacosi
Photographe de plateau :
G.B. Poletto
Interprètes :
Giulietta Masina (Gelsomina), Anthony Quinn (Zampano), Richard Basehart (le "fou"), Aldo Silvani (Colombaioni/Monsieur "Girafe"), Marcella Rovena (la veuve), Livia Venturini (la soeur), Mario Passante, Anna Primula, Gustavo Giorgi, Yami Kamadeva
« Il était une fois un jeune homme au naturel pessimiste, celte, rêveur, maniaque, grand voyageur, qui avait lu Giraudoux et Arsène Lupin à douze ans et dont la passion dominante était le cinématographe. Ce jeune homme alla voir La Strada. Il vit ce film trois fois en deux jours. Peut-être continuerait-il. Il lui semblait fort possible d'aller voir La Strada, comme cela, en passant, par jeu ou par tristesse, jusqu'à la fin de sa vie, qui pourrait être longue. » (Chris Marker)