Générique
Réalisateur :
Sergio Leone
Collaborateur à la réalisation :
Brian Freilino
Assistants réalisateurs :
Fabrizio Sergenti Castellani, Luca Morsella, Dennis Benatar, Amy Wells
Scénaristes :
Leonardo Benvenuti, Piero De Bernardi, Enrico Medioli, Franco Arcalli, Franco Ferrini, Sergio Leone
Auteur de l'oeuvre originale :
Harry Grey d'après le roman "The Hoods"
Dialoguiste :
Stuart Kaminsky
Sociétés de production :
Embassy International Pictures, PSO International - Producers Sales Organisation International, The Ladd Company, Rafran Cinematografica
Producteur :
Arnon Milchan
Producteur exécutif :
Claudio Mancini
Directeur de production :
Ginette Hardy
Distributeur d'origine :
SNC - Société Nouvelle de Cinématographie
Directeur de la photographie :
Tonino Delli Colli
Cadreur :
Carlo Tafani
Ingénieur du son :
Jean-Pierre Ruh
Mixeur :
Fausto Ancillai
Compositeur de la musique originale :
Ennio Morricone
Compositeur de la musique préexistante :
Irving Berlin "God bless America"
Auteur des chansons préexistantes :
Cole Porter "Night and day"
Compositeurs des chansons préexistantes :
George Gershwin "Summertime", Ira Gershwin "Summertime", Cole Porter "Night and day"
Directeur artistique :
Carlo Simi
Décorateur :
Giovanni Natalucci
Costumiers :
Gabriella Pescucci, Umberto Tirelli
Maquilleurs :
Nilo Jacoponi, Manlio Rocchetti, Gino Zamprioli
Coiffeurs :
Maria Teresa Corridoni, Renata Magnanti, Enzo Cardella
Monteur :
Nino Baragli
Régisseur :
Walter Massi
Directeurs de casting :
Cis Corman, Joy Todd
Coordinateur des effets spéciaux :
Gabe Videla
Cascadeur :
Benito Stefanelli
Photographe de plateau :
Angelo Novi
Interprètes :
Robert De Niro (David AAronson, dit Noodles), James Woods (Maximilian Bercovicz, dit Max), Elizabeth McGovern (Deborah Gelly), Joe Pesci (Frankie Minoldi), Burt Young (Joe), Tuesday Weld (Carol), Treat Williams (James Conway O'Donnell, dit Jimmy), Danny Aiello (le chef de la police Vincent Aiello), Richard Bright (Chicken Joe), James Hayden (Patrick Goldberg, dit Patsy), William Forsythe (Philip Stein, dit Cockeye), Darlanne Fleugel (Eve), Larry Rapp (Fat Moe), Richard Foronjy (l'officier Whitey, dit Fartface), Robert Harper (Sharkey), Dutch Miller (Van Linden), Gerard Murphy (Crowning), Amy Ryder (Peggy), Olga Karlatos (la femme au théâtre de marionettes), Mario Brega (Mandy), Ray Dittrich (Trigger), Frank Gio (Beefy), Karen Shallo (Madame Aiello), Angelo Florio (Willie le singe), Scott Tiler (Noodles, jeune), Rusty Jacobs (Max, jeune et David Bailey), Brian Bloom (Patsy, jeune), Adrian Curran (Cockeye, jeune), Mike Monetti (Fat Moe, jeune), Noah Moazezi (Dominic), James Russo (Bugsy), Frankie Caserta (un membre du gang de Bugsy), Joey Marzella (un membre du gang de Bugsy), Clem Caserta (Al Capuano), Frank Sisto (Fred Capuano), Jerry Strivelli (Johnny Capuano), Julie Cohen (Peggy, jeune), Marvin Scott (l'intervieweur TV), Mike Gendel (Irving Gold), Paul Herman (Monkey), Ann Neville (la fille dans le cercueil), Joey Faye (le vieil homme gentil), Linda Ipanema (l'infirmière Thompson), Tandy Cronin (un reporter), Richard Zobel (un reporter), Baxter Harris (un reporter), Arnon Milchan (le chauffeur), Bruno Iannone (le voyou), Marty Licata (le gardien du cimetière), Marcia Jean Kurtz (la mère de Max), Estelle Harris (la mère de Peggy), Gerritt Debeer (l'ivrogne), Jennifer Connelly (Deborah, jeune), Alexander Godfrey (le vendeur de journaux), Cliff Cudney (un policier à cheval), Paul Farentino (un policier à cheval), Bruce Bahrenburg (le sergent Halloran), Mort Freeman (le chanteur de rue), Sandra Solberg (l'amie de la jeune Deborah), Jay Zeely (le contremaître), Massimo Liti (Macro, jeune), Scott Coffey (l'adolescent), Francesca Leone (la petite amie de David Bailey), Chuck L. Low (le père de Deborah Gelly), Ron Nummi (le serveur)
Le testament de Sergio Leone, 4 heures d'un spectacle immense, à la fois lyrique et teinté d'une insondable mélancolie. Tiré des souvenirs d'un obscur truand émigré juif, le grand œuvre du maestro italien dépasse rapidement le strict cadre du film de gangster pour se faire recherche du temps perdu, évocation crépusculaire des mythes américains, de l'enfance, de l'amitié et de l'amour.