Séances
Séances passées
Mardi 27 octobre 2020, 15h30 -
Salle Georges Franju
→ 17h10 (99 min)
- La Mort en ce jardin (Luis Buñuel / France-Mexique / 1956 / 99 min / DCP)
Dimanche 11 octobre 2020, 21h15 -
Salle Henri Langlois
→ 22h55 (99 min)
- La Mort en ce jardin (Luis Buñuel / France-Mexique / 1956 / 99 min / DCP)
Lundi 2 juillet 2018, 20h00 -
Salle Jean Epstein
→ 22h05 (121 min)
Séance suivie d'une discussion avec Antonin Peretjatko, qui présentera aussi un film surprise choisi par ses soins
- Panique au Sénat (Antonin Peretjatko / France / 2017 / 17 min / DCP)
- La Mort en ce jardin (Luis Buñuel / France-Mexique / 1956 / 99 min / 35mm)
Samedi 28 septembre 2013, 16h45 -
Salle Henri Langlois
→ 18h25 (99 min)
- La Mort en ce jardin (Luis Buñuel / France-Mexique / 1956 / 99 min / 35mm)
Dimanche 2 août 2009, 14h30 -
Salle Henri Langlois
→ 16h15 (104 min)
- La Mort en ce jardin (Luis Buñuel / France-Mexique / 1956 / 99 min)
Mercredi 24 juin 2009, 21h15 -
Salle Henri Langlois
→ 23h00 (104 min)
- La Mort en ce jardin (Luis Buñuel / France-Mexique / 1956 / 99 min)
1956, Buñuel tourne son deuxième film en couleurs. Après l’île luxuriante de son Robinson Crusoé, le cinéaste mexicain plonge ses personnages dans la moiteur venimeuse de la forêt amazonienne. Une jungle inquiétante et fantasmagorique, sublimée par les images de Jorge Stahl Jr. Un casting français de premier plan. Simone Signoret, incandescente depuis Casque d’or et Les Diaboliques qu’elle tourne juste avant, entourée du grand Charles Vanel, de Michel Piccoli, en prêtre savoureux, et de Georges Marchal en aventurier sadique et minable. Récit d’aventure d’apparence classique – impossible de ne pas penser à L’African Queen de John Huston –, La Mort en ce jardin est subtilement parsemé de situations surréalistes et autres symboles bunueliens, servant à disséquer l’âme humaine et les pulsions primitives, tout en fustigeant les institutions et l’oppression du peuple. Dans ce jardin d’Éden, on tranche l’œil des policiers à la pointe d’une plume, les serpents se font dévorer par les fourmis, les chevelures s’emmêlent aux lianes tandis que les curés théorisent avec délectation sur les œufs mollets.