Générique
Réalisateur :
Luis Buñuel
Assistant réalisateur :
Ignacio Villareal
Scénariste :
Luis Buñuel
Auteur de l'oeuvre originale :
Luis Buñuel d'après le cinédrame "Les Naufragés de la rue providence", Luis Alcoriza d'après le cinédrame "Les Naufragés de la rue providence"
Dialoguiste :
Luis Buñuel
Sociétés de production :
Producciones Alatriste, Uninci - Union Industrial Cinematografica (Madrid), Films 59 (Madrid)
Producteur :
Gustavo Alatriste
Producteur exécutif :
Antonio deSalazar
Directeur de production :
Fidel Pizarro
Distributeur d'origine :
Ursulines Distribution
Directeur de la photographie :
Gabriel Figueroa
Cadreur :
Manuel González
Ingénieur du son :
José B. Carles
Compositeur de la musique originale :
Raúl Lavista
Compositeurs de la musique préexistante :
Domenico Scarlatti, Ludwig vanBeethoven, Frédéric Chopin, Pietro Domenico Paradisi
Créateur des décors :
Jesus Bracho
Costumier :
Georgette Somohano
Maquilleur :
Armando Meyer
Monteurs :
Luis Buñuel, Carlos Savage
Coordinateur des effets spéciaux :
Juan Muñoz Ravelo
Photographe de plateau :
Ángel Corona
Interprètes :
Silvia Pinal (Laetitia dite "La Walkyrie), Enrique Rambal (Edmundo Nobile), Jacqueline Andere (Alicia de Roc), José Baviera (Leandro Gomez), Augusto Benedico (le docteur), Luis Beristain (Cristian Ugalde), Claudio Brook (le majordome Julio), Antonio Bravo (Russell), César delCampo (le colonel), Rosa Elena Durgel (Silvia), Lucy Gallardo (Lucia de Nobile), Enrique García Álvarez (Alberto Roc), Ofelia Guilmáin (Juana Avila), Nadia Haro Oliva (Ana Maynar), Tito Junco (Raul), Xavier Loya (Francisco Avila), Xavier Massé (Eduardo), Angel Merino (le maître d'hôtel Lucas), Ofelia Montesco (Beatriz), Patricia Morán (Rita Ugalde), Patricia deMorelos (Blanca), Bertha Moss (Leonora), Enrique delCastillo (l'abbé), Chel López (un prêtre), Janet Alcoriza (la femme de chambre), Pancho Córdova, Luis Lomeli, Guillermo Álvarez Bianchi, Elodia Hernández, Florencio Castelló, David Hayyad Cohen
« Luis Buñuel est à la fois Thésée et le Minotaure, le torero et le taureau, d'où la tragique beauté, l'intensité, la violence et la magie sensuelle de ses films. » (Henri Langlois)