Générique
Réalisateur :
Marco Ferreri
Assistants réalisateurs :
Philippe Lefebvre, Fabio Pellarin, Fabio Garriba
Scénaristes :
Jean-Claude Carrière, Marco Ferreri
Auteur de l'oeuvre originale :
Ennio Flaiano d'après la nouvelle "Melampus"
Dialoguistes :
Jean-Claude Carrière, Marco Ferreri
Sociétés de production :
Lira Films (Paris), Pegaso Cinematografica (Roma)
Producteurs :
Raymond Danon, Alfred Levy
Directeurs de production :
Ralph Baum, Roberto Giussani
Distributeur d'origine :
C.F.D.C. - Compagnie Française de Distribution Cinématographique (Paris)
Directeur de la photographie :
Mario Vulpiani
Cadreur :
Pasquale Rachini
Ingénieurs du son :
Guy Chichignoud, Filippo Neroni
Compositeur de la musique originale :
Philippe Sarde
Décorateurs :
Théobald Meurisse, Luciana Vedovelli
Costumiers :
Gitt Magrini, Yves Saint-Laurent pour Catherine Deneuve
Maquilleurs :
Jacky Bouban, Giuseppe Banchelli
Coiffeur :
Edina Habib
Monteur :
Giuliana Trippa
Script :
Rosanna Seregni
Régisseur :
Nicole Carmet
Photographes de plateau :
Jean Canessa, Franco Vitale
Interprètes :
Catherine Deneuve (Liza), Marcello Mastroianni (Giorgio), Corinne Marchand (la femme de Giorgio), Michel Piccoli (l'ami de Giorgio), Pascal Laperrousaz (le fils de Giorgio), Valérie Stroh (la fille de Giorgio), Dominique Marcas (la bonne), Mauro Benedetti, Claudia Bianchi, Enrico Blasi, Luigi Antonio Guerra
« Au début, le film s'appelait La Chienne : une idée de bestialité, qui hantait Ferreri à ce moment-là. Nous avons fait beaucoup de repérages : toute la Corse, la Sardaigne. Marco était quelqu'un de très tendre, de très sensible, craintif sans doute, mais totalement masqué derrière sa barbe, ses petites amulettes africaines, tibétaines, sur la poitrine pour se protéger du mauvais sort. Il ne parlait presque pas. Marco avait surtout envie, je crois, de tourner avec Mastroianni et Deneuve. Je n'ai jamais pu deviner ce qu'il pensait de ce film, plutôt impressionniste, ce qu'il y voyait. J'étais un peu hagard, sans savoir où j'allais. J'essayais de fouiller dans ce que lui-même ignorait de lui. Ce film a pourtant des fanatiques. J'ai entendu parler, en Pologne, d'un ciné-club appelé Liza. Il doit avoir disparu. » (Jean-Claude Carrière)