Générique
Réalisateur :
Vittorio De Sica
Assistants réalisateurs :
Luisa Alessandri, Giorgio Treves
Scénaristes :
Ugo Pirro, Vittorio Bonicelli
Auteur de l'oeuvre originale :
Giorgio Bassani d'après le roman "Il Giardino dei Finzi-Contini"
Sociétés de production :
Documento Film (Roma), CCC-Film - Central Cinema Compagnie-Film GmbH (Berlin)
Producteurs :
Gianni Hecht Lucari, Arthur Cohn
Producteur exécutif :
Fausto Saraceni
Directeur de production :
Romano Dandi
Distributeur d'origine :
PlanFilm
Directeur de la photographie :
Ennio Guarnieri
Cadreur :
Giancarlo Ferrando
Mixeur :
Franco Bassi
Compositeur de la musique originale :
Manuel De Sica
Décorateur :
Giancarlo Bartolini Salimbeni
Costumier :
Giancarlo Bartolini Salimbeni
Maquilleur :
Giulio Natalucci
Coiffeur :
Anna Cristofani
Monteur :
Adriana Novelli
Script :
Franca Santi
Photographes de plateau :
Massimo Loffredi, Max Galinsky
Interprètes :
Dominique Sanda (Micol Finzi-Contini), Lino Capolicchio (Giorgio), Fabio Testi (Giampaolo Malnate), Helmut Berger (Alberto Finzi-Contini), Romolo Valli (le père de Giorgio), Camillo Cesarei (Ermanno Finzi-Contini), Inna Alexeieff (la grand-mère Régina), Katina Morisani (Olga Finzi-Contini), Barbara Pilavin (la mère de Giorgio), Michaël Berger (l'étudiant allemand), Ettore Geri (le majordame des Finzi-Contini), Raffaele Curi (Ernest), Gian Paolo Duregon (Bruno Lattes), Marcella Gentile (Fanny), Cinzia Bruno (Micol enfant), Alessandro D'Alatri (Giorgio enfant), Franco Nebbia (le professeur De Marchis), Edoardo Toniolo (le directeur de la bibliothèque), Camillo Angelini-Rota (Ermanno Finzi-Contini), Katina Viglietti (Olga Finzi-Contini)
Le film suggère toute la tristesse et toute l’horreur du monde en montrant la quiétude d’un opulent jardin, paradis perdu qui abrite les liens et les souvenirs de plusieurs générations. Indifférent ou incrédule face à la menace extérieure, on promène sa nonchalance et ses amours enfantines, alors qu’hors les murs, le pire se prépare. Lumière cotonneuse, travellings délicats, De Sica scrute, avec discrétion et acuité, les sentiments de ses personnages, et livre une œuvre juste et bouleversante.
Restauré par Istituto Luce Cinecittà aux laboratoires Studio Cine de Rome et L’Immagine ritrovata de Bologne.