Générique
Réalisateur :
Alfred Hitchcock
Assistant réalisateur :
C.R. Foster-Kemp
Scénariste :
James Bridie
Collaborateurs scénaristiques :
Marjorie Bowen, Peter Ustinov
Auteur de l'oeuvre originale :
Helen Simpson d'après le roman "Under capricorn", John Colton d'après la pièce de théâtre "Under capricorn", Margaret Linden d'après la pièce de théâtre "Under capricorn"
Adaptateur :
Hume Cronyn
Société de production :
Transatlantic Pictures
Producteurs :
Alfred Hitchcock, Sidney Bernstein
Directeur de production :
Fred Ahern
Distributeur d'origine :
Warner Bros.
Directeur de la photographie :
Jack Cardiff
Cadreurs :
Paul Beeson, Ian Craig, David McNeilly, Jack Haste
Ingénieurs du son :
A.W. Watkins, Peter Handford
Compositeur de la musique originale :
Richard Addinsell
Directeur artistique :
Tom Morahan
Décorateur :
Philip Stockford
Costumiers :
Roger Furse, Julia Squire
Monteur :
A.S. Bates
Régisseur :
John Palmer
Directeur de casting :
Margaret Bonnar
Interprètes :
Joseph Cotten (Sam Flusky), Ingrid Bergman (Lady Henrietta), Michael Wilding (Charles Adare), Margaret Leighton (Milly), Cecil Parker (le gouverneur), Denis O'Dea (Monsieur Corrigan), Jack Watling (Winter), Harcourt Williams (le cocher), John Ruddock (Monsieur Potter), Bill Shine (Monsieur Bank), Victor Lucas (le révérend Smiley), Ronald Adam (Monsieur Riggs), Francis De Wolff (le major Wilkins), G.H. Mulcaster (le docteur Mac Allister), Olive Sloane (Sal), Maureen Delaney (Flo), Julia Lang (Susan), Betty McDermott (Martha), Alfred Hitchcock (l'homme au bal du gouverneur)
« C’est un film très romanesque et à cause de cela on pourrait le croire commercial ; d’un autre côté, il est assez triste, assez morbide, les personnages ont tous quelque chose à se reprocher et l’ensemble baigne dans une ambiance un peu cauchemardesque. Mais il y a un aspect qui est comme le perfectionnement d’éléments antérieurs de l’œuvre d’Hitchcock ; par exemple, le personnage de la gouvernante abusive, Milly, c’est la fille de la Mme Danvers de Rebecca, mais encore plus terrifiante. » (François Truffaut)