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L'Enfer blanc du Piz Palü Die weiße Hölle vom Piz Palü
Arnold Fanck, Georg Wilhelm Pabst
Allemagne / 1929
Avec Leni Riefenstahl, Ernst Petersen, Gustav Diessl.
Le docteur Krafft perd sa femme lors d'une chute en montagne pendant leur lune de miel. Dix ans plus tard, un jeune couple se rend en expédition au même endroit et rencontre Krafft, persuadé que son épouse est toujours en vie.
« La montagne ? Elle est là, mystérieuse et vivante, puissante, allongeant de partout ses ombres bleues, bruissante par le chant de ses sources, le vacarme de ses éboulements, les échos de sa vallée. Dès la première image, on est saisi par la poésie immatérielle qui se dégage de ce décor naturel. Et dans les images harmonieuses, les deux metteurs en scène vont nous faire participer à ce drame pathétique où nous serons, spectateurs, littéralement envoûtés par la fascination de ces tableaux blancs et noirs… C’est tout simplement une merveille, un chef-d’œuvre. » Lucie Derain (Cinémonde, 21/11/1929)
Film également connu sous le titre Prisonniers de la montagne.
Générique
Réalisateur :
Arnold Fanck, Georg Wilhelm Pabst
Assistants réalisateurs :
Paul Falkenberg, Mark Sorkin
Scénaristes :
Arnold Fanck, Ladislaus Vajda
Auteur de l'oeuvre originale :
Arnold Fanck d'après une idée
Société de production :
H.R. Sokal-Film GmbH (Berlin)
Producteur :
Henry Sokal
Directeurs de la photographie :
Richard Angst, Sepp Allgeier, Hans Schneeberger
Compositeur de la musique originale :
Willy Schmidt-Gentner
Directeur artistique :
Ernö Metzner
Monteurs :
Arnold Fanck, Hermann Haller
Régisseur :
Heinz Landsmann
Photographe de plateau :
Hans G. Casparius
Interprètes :
Gustav Diessl (le professeur Johannes Krafft), Leni Riefenstahl (Maria Majoni), Ernst Petersen (Hans Brandt), Ernst Udet (Flieger Udet), Mizzi Götzel (Maria Krafft), Otto Spring (Christian Klucker, le guide), Kurt Gerron (l'homme dans le salon)
« La montagne ? Elle est là, mystérieuse et vivante, puissante, allongeant de partout ses ombres bleues, bruissante par le chant de ses sources, le vacarme de ses éboulements, les échos de sa vallée. Dès la première image, on est saisi par la poésie immatérielle qui se dégage de ce décor naturel. Et dans les images harmonieuses, les deux metteurs en scène vont nous faire participer à ce drame pathétique où nous serons, spectateurs, littéralement envoûtés par la fascination de ces tableaux blancs et noirs… C’est tout simplement une merveille, un chef-d’œuvre. » Lucie Derain (Cinémonde, 21/11/1929)
Film également connu sous le titre Prisonniers de la montagne.