Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Oncle Vania Дядя Ваня [Diadia Vania
Andreï Kontchalovski
URSS / 1970 / 105 min
D'après la pièce Oncle Vania d'Anton Tchekhov.
Avec Innokenti Smoktounovski, Sergueï Bondartchouk, Irina Kouptchenko.
Vania vit tranquillement en compagnie de sa mère et de sa nièce. Lorsque son beau-frère, le professeur Sérébriakov, revient au pays en compagnie de la belle Elena, sa rancœur enfouie est brusquement ravivée.
« L’art de Kontchalovski, c’est de suggérer à merveille ce qu’il ne nous montre pas. Ce film est un chef-d’œuvre d’intelligence des sentiments, du texte et de la mise en scène : nous sommes à mille lieues du théâtre filmé. Le cinéaste restitue le sens d’Oncle Vania en situant le personnage au cœur de son époque, et donne à Tchekhov un éclairage moderne en découvrant ce qu’il y a de commun, d’universel et de présent dans ce théâtre d’ombres que l’académisme stalinien avait figé dans la froideur et l’indifférence du respect. » Henry Chapier (Combat, 25/04/73)
Générique
Réalisateur :
Andreï Kontchalovski
Scénariste :
Andreï Mikhalkov-Konchalovsky
Auteur de l'oeuvre originale :
Anton Tchekhov d'après la pièce "Oncle Vania"
Société de production :
Mosfilm (Moscou)
Distributeur d'origine :
MultiCiné
Directeurs de la photographie :
Evgueni Gouslinski, Georgi Rerberg
Ingénieur du son :
Grigori Korenblioum
Compositeur de la musique originale :
Alfred Chnitke
« L’art de Kontchalovski, c’est de suggérer à merveille ce qu’il ne nous montre pas. Ce film est un chef-d’œuvre d’intelligence des sentiments, du texte et de la mise en scène : nous sommes à mille lieues du théâtre filmé. Le cinéaste restitue le sens d’Oncle Vania en situant le personnage au cœur de son époque, et donne à Tchekhov un éclairage moderne en découvrant ce qu’il y a de commun, d’universel et de présent dans ce théâtre d’ombres que l’académisme stalinien avait figé dans la froideur et l’indifférence du respect. » Henry Chapier (Combat, 25/04/73)