Générique
Réalisateur :
James Ivory
Assistants réalisateurs :
Kevan Barker, David Nichols, Gopal Ram
Scénariste :
Ruth Prawer Jhabvala
Auteur de l'oeuvre originale :
Ruth Prawer Jhabvala d'après le roman "Chaleur et poussière"
Société de production :
Merchant Ivory Productions
Producteur :
Ismail Merchant
Producteurs associés :
Connie Kaiserman, Rita Mangat
Directeur de production :
Peter Manley
Directeur de la photographie :
Walter Lassally
Ingénieur du son :
Ray Beckett
Compositeur de la musique originale :
Richard Robbins
Créateur des décors :
Wilfred Shingleton
Directeurs artistiques :
Maurice Fowler, Ram Yedekar
Costumier :
Barbara Lane
Maquilleur :
Gordon Kay
Coiffeur :
Carol Hemming
Monteur :
Humphrey Dixon
Scripts :
Jane Buck, Renée Glynne
Directeur de casting :
Susie Figgis
Photographe de plateau :
Christopher Cormack
Interprètes :
Julie Christie (Anne), Greta Scacchi (Olivia), Julian Glover (Crawford), Christopher Cazenove (Douglas Rivers), Susan Fleetwood (Madame Crawford), Patrick Godfrey (Saunders), Jennifer Kendal (Madame Saunders), Sashi Kapoor (le nabab), Madhur Jaffrey (Begum Mussarat Jahan), Nickolas Grace (Harry Hamilton-Paul), Barry Foster (le major Minnies), Zakir Hussain (Inder Lal), Ratna Pathak (Ritu), Tarla Mehta (la mère d'Inder Lal), Charles McCaughan (l'enfant), Sajid Khan (le chef des Dacoit), Amanda Walker (Lady Mackleworth), Praveen Paul (Maji), Jayant Kripalani (le docteur Gopal), Sudha Chopra (la cheffe des princesses), Daniel Chatto (l'invité), Leelabai (Leelavati), Geoff Heinrich, Ishak Khan, Bobby Bedii, Baba Ghaus
« On saura gré à Ivory d’avoir su faire rimer le calme d’un jardin des environs de Londres, à la fin d’un après-midi d’été, et celui d’une véranda coloniale, d’avoir réussi [une] jolie scène d’amour sous moustiquaire, d’avoir agencé un réseau de correspondances qui sont, peut-être pas d’un grand poète, mais d’un artisan sensible et toujours de bon goût. Chaleur et poussière lui offre aussi l’occasion de décliner toutes les approches possibles de l’Inde par un étranger – et, dans la mesure où, depuis plus de vingt ans, sa carrière est liée à ce pays, d’esquisser avec discrétion une sorte d’autobiographie spirituelle, la plupart des attitudes adoptées par les différents personnages pouvant être rapprochées d’étapes de son propre cheminement. » (Emmanuel Carrère)