Nosferatu le vampire Nosferatu, eine Symphonie des Grauens
Friedrich Wilhelm Murnau
Allemagne / 1921 / 94 min
D'après le roman Dracula de Bram Stoker.
Avec Max Schreck, Alexander Granach, Gustav von Wangenheim.
Thomas Hutter, un jeune clerc de notaire, part pour la Transylvanie pour vendre une propriété au comte Orlok. Accueilli dans le sinistre château de son hôte, il ne tarde pas à découvrir sa véritable nature.
« Nosferatu le vampire est le film muet par excellence. Il engloutit en nous l'esprit critique, fait surgir l'inconnu, cet univers démoniaque fait d'autosuggestion et de peur panique que provoquèrent la sorcellerie et la prière. Il nous sensibilise à nouveau à la mentalité primitive, au monde des esprits, aux vertus mystiques des présages, à l'action des forces nuisibles et inaccessibles aux sens, propres à la mentalité prélogique. Il ressuscite en nous la croyance en la puissance effective du désir. » (Henri Langlois)
Générique
Réalisateur :
Friedrich Wilhelm Murnau
Auteur de l'oeuvre originale :
Bram Stoker d'après le roman "Dracula"
Adaptateur :
Henrik Galeen
Société de production :
Prana-Film Gmbh (Berlin)
Producteurs :
Albin Grau, Enrico Dieckmann
Directeur de la photographie :
Fritz Arno Wagner
Compositeur de la musique originale :
Hans Erdmann
Décorateur :
Albin Grau
Costumier :
Albin Grau
Interprètes :
Max Schreck (le comte Orlok/Nosferatu), Alexander Granach (Knock), Gustav vonWangenheim (Hutter), Greta Schröder (Ellen), Georg H. Schnell (Harding), Ruth Landshoff (Ruth), John Gottowt (le professeur Bulwer), Gustav Botz (le professeur Sievers), Max Nemetz (le capitaine), Wolfgang Heinz (un marin), Albert Venohr (un marin), Guido Herzfeld (l'aubergiste), Hardy vonFrancois (le médecin de l'hôpital)
« Nosferatu le vampire est le film muet par excellence. Il engloutit en nous l'esprit critique, fait surgir l'inconnu, cet univers démoniaque fait d'autosuggestion et de peur panique que provoquèrent la sorcellerie et la prière. Il nous sensibilise à nouveau à la mentalité primitive, au monde des esprits, aux vertus mystiques des présages, à l'action des forces nuisibles et inaccessibles aux sens, propres à la mentalité prélogique. Il ressuscite en nous la croyance en la puissance effective du désir. » (Henri Langlois)