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Profond désir des dieux Kamigami no fukaki yokubo [神々の深き欲望
Shohei Imamura
Japon / 1968 / 140 min
Avec Rentaro Mikuni, Choichiro Kawarazaki, Hideko Okiyama.
Un ingénieur débarque sur l'île de Kurage, dont les habitants vivent toujours selon d'ancestrales coutumes. Il est peu à peu envoûté par l'ambiance magique du lieu, et se prend de passion pour une jeune fille simple d'esprit.
Instinct sexuel, violence, jalousie, corruption... On retrouve dans ce récit choc aux accents carnavalesques tous les grands thèmes de l'œuvre d'Imamura. De même que son bestiaire familier. Tels des serpents et des insectes, les hommes s'affrontent au cœur d'une nature écrasée de soleil, que le cinéaste filme pour la première fois en couleurs. Dans la moiteur de l'île, entre enfer et paradis, il oppose un Japon en pleine modernisation et une société primitive, où rites déviants, punitions, secrets et péchés donnent lieu aux scènes les plus folles. Inhospitalier et grandiose.
Générique
Réalisateur :
Shohei Imamura
Assistants réalisateurs :
Den Fujita, Kunio Takeshige, Kazuo Hasegawa
Scénaristes :
Shôhei Imamura, Keiji Hasebe
Sociétés de production :
Imamura Productions, Nikkatsu Corporation (Tokyo)
Distributeur d'origine :
Les Films sans Frontières
Directeur de la photographie :
Masao Tochizawa
Ingénieur du son :
Kenichi Benitani
Compositeur de la musique originale :
Toshirô Mayuzumi
Décorateur :
Takeshi Omura
Monteur :
Matsuo Tanji
Interprètes :
Rentarô Mikuni (Nekichi Futori), Chôichirô Kawarazaki (Kametaro Futori), Hideko Okiyama (Toriko Furoti), Kanjuro Arashi (Yamanori Futori), Yasuko Matsui (Uma Futori), Yoshi Katô (Ryu Ryugen), Kazuo Kitamura (l'ingénieur Kariya), Jun Hamamura (Tokusato Sato), Hôsei Komatsu (l'assistant de Kariya), Taiji Tonoyama (le vendeur ambulant), Chikako Hosokawa (l'épouse du président), Chikage Ogi (l'épouse de Kariya), Izumi Hara (l'épouse du chef du village), Kazuhiko Hasegawa
Instinct sexuel, violence, jalousie, corruption... On retrouve dans ce récit choc aux accents carnavalesques tous les grands thèmes de l'œuvre d'Imamura. De même que son bestiaire familier. Tels des serpents et des insectes, les hommes s'affrontent au cœur d'une nature écrasée de soleil, que le cinéaste filme pour la première fois en couleurs. Dans la moiteur de l'île, entre enfer et paradis, il oppose un Japon en pleine modernisation et une société primitive, où rites déviants, punitions, secrets et péchés donnent lieu aux scènes les plus folles. Inhospitalier et grandiose.