En raison des ralentissements liés aux contrôles de sécurité à l’entrée du bâtiment, nous vous conseillons d’arriver 30 minutes avant le début de votre séance, les retardataires ne pouvant être acceptés en salle. Nous vous rappelons que les valises et les sacs de grande taille ne sont pas acceptés dans l’établissement.
Venue s'installer dans un désert reculé, une jeune femme épouse un cow-boy.
« Étrange film qui est très éloigné du romanesque des films de Hollywood, tout proche des thèmes de Pabst, du naturalisme implacable, du sens de la nature des Nordiques et de la complexité de sujets auxquels seule la littérature nous avait habitués jusqu'alors. Le Vent est une alliance admirable de toutes les qualités du cinéma suédois et du meilleur du cinéma américain. Lars Hanson y côtoie Lillian Gish et le cheval fantôme des Rocheuses y évoque sans cesse les rennes fous de Stiller. » (Henri Langlois)
Générique
Réalisateur :
Victor Sjöström
Assistant réalisateur :
Harold S. Bucquet
Scénariste :
Frances Marion
Auteur de l'oeuvre originale :
Dorothy Scarborough d'après le roman "The Wind"
Rédacteur des intertitres :
John Colton
Société de production :
MGM - Metro-Goldwyn-Mayer
Directeur de la photographie :
John Arnold
Décorateurs :
Cedric Gibbons, Edward Withers
Costumier :
Clément André-ani
Monteur :
Conrad A. Nervig
Interprètes :
Lillian Gish (Letty Mason), Lars Hanson (Lige), Montagu Love (Roddy), Dorothy Cumming (Cora), Edward Earle (Beverly), William Orlamond (Sourdough), Carmencita Johnson (une enfant de Cora), Laon Ramon (un enfant de Cora), Billy Kent Schaefer (un enfant de Cora)
« Étrange film qui est très éloigné du romanesque des films de Hollywood, tout proche des thèmes de Pabst, du naturalisme implacable, du sens de la nature des Nordiques et de la complexité de sujets auxquels seule la littérature nous avait habitués jusqu'alors. Le Vent est une alliance admirable de toutes les qualités du cinéma suédois et du meilleur du cinéma américain. Lars Hanson y côtoie Lillian Gish et le cheval fantôme des Rocheuses y évoque sans cesse les rennes fous de Stiller. » (Henri Langlois)