Générique
Réalisateur :
Don Siegel
Assistants réalisateurs :
David Tringham, Andy Armstrong, Waldo Roeg
Scénariste :
Francis Burns
Auteur de l'oeuvre originale :
Derek Lambert d'après le roman "Touch the Lion's Paw"
Sociétés de production :
David Merrick Productions, Paramount Pictures
Producteur :
David Merrick
Directeur de production :
Peter Price
Distributeur d'origine :
CIC - Cinema International Corporation
Directeur de la photographie :
Freddie Young
Cadreurs :
Chic Anstiss, Bob Kindred, John Deaton
Mixeur :
John Mitchell
Compositeur de la musique originale :
Nelson Riddle
Créateur des décors :
Ted Haworth
Directeur artistique :
Tim Hutchinson
Décorateur :
Peter James
Costumiers :
Anthony Mendleson, Norman Salling pour Burt Reynolds
Maquilleurs :
Robin Grantham, Tom Ellingwood pour Burt Reynolds
Coiffeurs :
Ramon Gow, Elaine Bowerbank pour Lesley-Ann Down
Monteur :
Douglas Stewart
Script :
Angela Allen
Directeur de casting :
Irene Lamb
Coordinateur des effets spéciaux :
Ted Grumbt
Photographe de plateau :
Laurie Ridley
Interprètes :
Burt Reynolds (Jack Rhodes), Lesley Ann Down (Gillian Bromley), David Niven (l'inspecteur Cyril Willis), Timothy West (Nigel Lawton), Patrick Magee (Ernst Mueller), Al Matthews (Ferguson), Susan Littler (Sheila), Joss Ackland (l'inspecteur Vanderveld), Isabel Dean (Madame Willis), Andrew Ray (le sergent Pilbrow), Wolf Kahler (De Gooyer), Julian Holloway (Ronnie Taylor), Douglas Wilmer (Maxwell Levy), Geoffrey Russell (Tobin), Ronald Hines (le capitaine Small), David Howey (l'officier Palmer), Frank Mills (le préposé aux passeports), Roland Culver (Lloyd Palmer), Alan Webb (Sir Samuel Sacks), Cassandra Harris (Lady Palmer), Sue Lloyd (une invitée), Hugh Thomas (un invité), Paul McDowell (le facteur), Stephen Reynolds (le jeune homme), David Eggles (Monsieur Foxworth), Stephen Moore (le directeur de vol), Peter Schofield (Steiner), Jonathan Elsom (Lambert), Ron Pember (le chauffeur de taxi), Cyril Appleton (le conducteur de la police), John Slavid (le croupier), Brian Tipping (le serveur au pub), Carol Rydall (la prostituée)
Siegel prend le virage des années 80 avec un film de casse doublé d'une comédie sentimentale. Tournage chaotique – le réalisateur est d'abord remercié avant d'être rappelé sous la pression de Burt Reynolds –, quatre fins différentes, résultat mitigé, mais charme sympathique. Dès la première séquence, Le Lion sort ses griffes assume la référence à La Main au collet. Dans une confrontation étonnante, le félin Burt Reynolds et le flegmatique David Niven vont jouer au gendarme et au voleur, accompagnés par la sémillante Lesley-Ann Down et bercés par les morceaux de Duke Ellington. Si Reynolds n'est pas Cary Grant, son envie d'égaler son idole ne se dément pas, et Siegel, en fin de carrière, fait encore montre de son efficacité dans les scènes d'action.