Générique
Réalisateur :
Don Siegel
Collaborateur à la réalisation :
Jack Daniels
Assistants réalisateurs :
Ronnie Rondell, Herbert S. Greene
Scénaristes :
Gerald Drayson Adams, Joseph Hoffman
Auteur de l'oeuvre originale :
Gerald Drayson Adams d'après une histoire
Société de production :
Universal International Pictures
Producteur :
Leonard Goldstein
Producteur associé :
Ross Hunter
Directeur de production :
Edward Dodds
Distributeur d'origine :
Universal Pictures France
Directeur de la photographie :
Irving Glassberg
Ingénieurs du son :
Leslie I. Carey, Corson Jowett
Compositeur de la musique originale :
Hans J. Salter
Directeurs artistiques :
Bernard Herzbrun, Alexander Golitzen
Décorateurs :
Russell A. Gausman, Joe Kish
Costumier :
Bill Thomas
Maquilleur :
Bud Westmore
Coiffeur :
Joan St. Oegger
Monteur :
Russell Schoengarth
Interprètes :
Audie Murphy (Luke Cromwell, dit The Silver Kid), Faith Domergue (Opal Lacey), Stephen McNally (le marshal Lightning Tyrone), Susan Cabot (Jane Fargo, dite Dusty), Gerald Mohr (Rod Lacey), Eugene Iglesias (Johnny Sombrero), Kyle James (Blake, dit Face de rat), Walter Sande (Pete Fargo), Lee Marvin (Tinhorn Burgess), George Eldredge (Jim Ryan), Forest Burns (l'ivrogne), John Carpenter (l'homme de main), Griff Barnett (Dan Musick), Frank Wilcox (le docteur Clayton), Steve Darrell (le shérif Barton), Jeff York (Abe Cooney), Wheaton Chambers (le docteur Hargroves), Stanley Blystone (Sam), Jennings Miles (le conducteur de la dilligence), Emile Avery (le membre du gang), Harry Harvey (Dad Cromwell), William Bailey (un citoyen), Monte Montague (un citoyen), George Brand (un citoyen), Lee Morgan (un citoyen), David Newell, Sailor Vincent, Frank Hagney, Fred Somers, Taylor McPeters, Alma Maison, James Anderson
« La plus grande chose que j'ai faite sur ce film, ça a été de donner confiance en lui à Audie Murphy. Il n'en avait aucune et je crois que j'ai réussi à changer ça. J'ai travaillé de façon très libre à partir du scénario, comme j'aime le faire quand je suis en tournage. Je me rendais compte que ça ne donnerait rien de stupéfiant. D'un autre côté, une fois que je suis sur un film, je dois y croire, et j'ai vraiment donné tout ce que j'ai pu pour travailler aussi bien que possible sur un projet de ce type ». (Don Siegel)