Générique
Réalisateur :
Larry Peerce
Assistants réalisateurs :
Steve Barnett, Mario Jurisic, Tony Brandt
Scénariste :
Jean-Claude Tramont
Société de production :
Sagittarius Productions
Coproduction :
New Gold Entertainment
Producteur :
Dominick Dunne
Directeur de production :
Luciano Piperno
Distributeur d'origine :
Paramount Pictures
Directeur de la photographie :
Ennio Guarnieri
Cadreur :
Cesare Allione
Mixeur :
Basil Fenton-Smith
Compositeur de la musique originale :
Maurice Jarre
Directeur artistique :
Philip Abramson
Costumier :
Edith Head
Maquilleurs :
Giannetto De Rossi, Alberto De Rossi pour Elizabeth Taylor
Coiffeurs :
Mirella De Rossi, Giancarlo Novelli, Alexandre pour Elizabeth Taylor
Monteur :
Marion Rothman
Script :
Elvira D'Amico
Directeur de casting :
Paola Rolli
Créateur du générique :
Wayne Fitzgerald
Coordinateur des effets sonores :
James J. Klinger
Photographe de plateau :
Gianni Bozzacchi
Interprètes :
Elizabeth Taylor (Barbara Sawyer), Henry Fonda (Mark Sawyer), Helmut Berger (Erich), Keith Baxter (David), Maurice Teynac (le docteur Lambert), Margaret Blye (Kate Sawyer), Monique Van Vooren (la femme allemande), Henning Schlüter (le joueur de bridge), Dino Mele (Mario), Kathy Van Lypps (Mandy), Dina Sassoli (Ilse, l'infirmière), Carlo Puri (Paolo), Andrea Esterhazy (le comte d'Arnoud), Jill Pratt (Simone), Irina Wassilchikoff (Silvano del Campo), Maximillian Windisch-Graetz (Viet Hartung), Rodolfo Lodi (le prince Von Essen), Raymond Vignale (Gregory de Rive), Jose De Vega (Tony Gutierrez), Samantha Starr (Samantha), Elena Tricoli (Elena), Maria Grazia Marescalchi (la vendeuse), Sandra Johnson (Sandy), Nadia Stancioff (Helga)
« Ce conte de fées moderne, où le scalpel magique des virtuoses du lifting transforme une bourgeoise londonienne, flétrie dans la respectabilité, en une Elizabeth Taylor, amincie et plus éclatante que la débutante d’Une place au soleil, a tout pour faire vibrer la midinette qui sommeille dans le cœur des vrais cinéphiles, tout pour enchanter les lecteurs de Ciné-Revue qu’ils sont secrètement restés. »
M.P. (Les Nouvelles littéraires, 15/07/1976)