Générique
Réalisateur :
Nicholas Ray
Assistant réalisateur :
Charles Maguire Jr.
Scénariste :
Budd Schulberg
Auteur de l'oeuvre originale :
Budd Schulberg d'après l'histoire "Across the Everglades"
Société de production :
Schulberg Productions
Producteur :
Stuart Schulberg
Directeur de production :
George Justin
Distributeur d'origine :
Warner Bros. Pictures France
Directeur de la photographie :
Joseph Brun
Cadreur :
Saul Midwall
Ingénieur du son :
Ernest Zatorsky
Compositeurs de la musique originale :
Paul Sawtell, Bert Shefter
Auteurs des chansons originales :
Budd Schulberg "Empty Pocket Blues", "Lonely Boy Blues", Burl Ives "Kissin' and Killin' ", Nicholas Ray "Lonely Boy Blues", Totch Brown "Shear 'Em Sheep, Shear 'Em"
Compositeurs des chansons originales :
Budd Schulberg "Empty Pocket Blues", Totch Brown "Kissin' and Killin' ", "Shear 'Em Sheep, Shear 'Em", Rufus Beecham "Lonely Boy Blues"
Directeur artistique :
Richard Sylbert
Costumiers :
Frank Thompson, George Newman, Flo Transfield
Maquilleur :
Robert Jiras
Coiffeur :
Willis Hanchett
Monteurs :
Georges Klotz, Joseph Zigman
Script :
Roberta Hodes
Interprètes :
Burl Ives (Cottonmouth), Christopher Plummer (Walt Murdock), Chana Eden (Naomi), Gypsy Rose Lee (Madame Bradford), Tony Galento (Beef), Sammy Renick (Loser), Pat Henning (Sawdust), Peter Falk (l'écrivain), Cory Osceola (Billy, le manchot), Emmett Kelly (Bob, le bigame), MacKinlay Kantor (le juge Harris), Totch Brown (One-Note), George Voskovec (Aaron Nathanson), Curt Conway (Perfesser), Sumner Williams (Windy), Howard I. Smith (George Leggett), Mary Pennington (Madame Leggett), Mary Osceola (Suzy Billy), Owen Pavitt (le shérif), Brad Bradford (Thumbs), Toby Bruce (Joe Bottles), Fred Grossinger (Slow Boy, le fils de Cottonmouth), Rufus Beecham (le pianiste), Frank Rothe (Ross Morgan), Dorothy Rogers (Mary Melon), Ray Osmer (Roy Ozmer), Cynthia Betout (Memory), Dick Wesson (la voix du narrateur), David Schulberg, Sandra Schulberg, Stephan Schulberg, Thelma Smallwood, Sally Marlowe, Minella Jiras, Joe Hunter
« Le but, tout rossellinien, de ce film est bien, je crois, de nous faire contempler la nature avec les yeux du poète (…). Selon son habitude, Ray a traité avec négligence et convention tout ce qui ne servait pas de canal à sa verve poétique, soucieux simplement de faire jaillir la beauté à de trop fugaces instants, aussi vite surgis et disparus que les froissements d’ailes des sveltes oiseaux blancs » (Éric Rohmer dans Arts)