Générique
Réalisateur :
Richard Lester
Assistant réalisateur :
John Bloss
Scénariste :
Lawrence B. Marcus
Auteur de l'oeuvre originale :
John Haase d'après le roman "Me and the Arch Kook Petulia"
Adaptateur :
Barbara Turner
Sociétés de production :
Warner Bros.-Seven Arts, Petersham Films
Producteur :
Raymond Wagner
Producteur associé :
Denis O'Dell
Producteur exécutif :
Don Devlin
Directeur de production :
Emmett Emerson
Directeur de la photographie :
Nicolas Roeg
Compositeur de la musique originale :
John Barry
Directeur artistique :
Dean Tavoularis
Décorateurs :
Tony Walton, Audrey Blasdell
Costumier :
Tony Walton
Maquilleur :
Gus Norin
Monteur :
Antony Gibbs
Script :
Rita Davison
Directeur de casting :
Fred Roos
Interprètes :
Julie Christie (Petulia Danner), George C. Scott (Archie Bollen), Richard Chamberlain (David Danner), Arthur Hill (Barney), Shirley Knight (Polo), Pippa Scott (May), Joseph Cotten (Monsieur Danner), Kathleen Widdoes (Wilma), Roger Bowen (Warren), Richard Dysart (le réceptionniste du motel), Ruth Kobart (une nonne), Ellen Geer (une nonne), Lou Gilbert (Monsieur Howard), Nate Esformes (Monsieur Mendoza), Maria Val (Madame Mendoza), Vincent Arias (Oliver), Eric Weiss (Michael), Kevin Cooper (Stevie), Austin Pendleton (l'interne), Barbara Colby (la patiente), René Auberjonois (le vendeur), Josephine Nichols (la voisine), DeAnn Mears (l'infirmière), The Grateful Dead (dans leur propre rôle), Big Brother and the Holding Company (dans leur propre rôle), The Committee (San Francisco) (dans leur propre rôle)
Avec Petulia, Richard Lester change de registre sans se départir de son esprit novateur. Son récit, à la construction éclatée, oscille entre scènes classiques et explosions de sensations pures, dans un San Francisco sixties photographié par Nicolas Roeg et enveloppé par la musique de John Barry. Julie Christie, magnétique, habite l'écran et promène sa mélancolie, s'offre et se dérobe devant George C. Scott, ici dans un rôle inattendu. Sous la nostalgie pointe parfois l'humour, qui fait de Petulia une chronique douce-amère, un mélodrame d'une rare puissance.