Générique
Réalisateur :
Andreï Kontchalovski
Assistants réalisateurs :
Michael Stevenson, David Tringham
Scénaristes :
Tom Kempinski, Jeremy Lipp, Andreï Konchalovsky
Auteur de l'oeuvre originale :
Tom Kempinski d'après la pièce "Duet for One"
Société de production :
Golan-Globus Productions
Producteurs :
Menahem Golan, Yoram Globus
Producteur associé :
Michael J. Kagan
Directeur de production :
Alexander De Grunwald
Distributeurs d'origine :
Cannon France (Paris), UGC - Union Générale Cinématographique
Directeur de la photographie :
Alex Thomson
Cadreurs :
Mike Frift, John Golding
Opérateur steadycam :
John Ward
Ingénieur du son :
Stanley B. Gill
Mixeur :
David Crozier
Compositeur de la musique originale :
Michael Bishop
Créateur des décors :
John Graysmark
Directeurs artistiques :
Reg Bream, Steve Cooper
Décorateur :
Peter Young
Costumiers :
Evangeline Harrison, Ken Crouch, Brenda Dabbs
Maquilleurs :
Beryl Lerman, Vivien Placks
Coiffeur :
John Isaacs
Monteur :
Henry Richardson
Directeur de casting :
Jeremy Zimmermann
Créateurs du générique :
Wenden K. Baldwin, Pauline Hume
Coordinateur des effets spéciaux :
John Gant
Interprètes :
Julie Andrews (Stephanie Anderson), Alan Bates (David Cornwallis), Max vonSydow (le docteur Louis Fledman), Rupert Everett (Constantine Kassanis), Margaret Courtenay (Sonia Randvich), Cathryn Harrison (Penny Smallwood), Sigfrit Steiner (Leonid Lefimov), Liam Neeson (Harry, le brocanteur, Macha Méril (Anya), Siobhan Redmond (l'épouse du brocanteur), Janette Newling (Madame Burridge), John Delaney (l'ivrogne), Kevin Ranson (Derek), Dorothea Phillips (Betty), Marcia Linden (Gail), David Miller (Charlie), Gary Fairhall (Terry), Nicola Davies (Joan), Pam Brighton (la femme du pub), Nicola Perring (Betsy)
« Julie Andrews a en elle tant de lumière, de vulnérabilité et de pureté, qu’elle seule pouvait jouer ce rôle morbide sans le rendre macabre. » Kontchalovski filme au plus près le visage de son actrice, héroïne bagarreuse pleine de colère et de passion. Autour d’elle, une dizaine de personnages inventés par le cinéaste, élargissant ainsi le récit adapté de la pièce de Tom Kempinski, dont l’action se déroulait dans le seul cabinet du psychiatre. Max von Sydow joue le psy, Rupert Everett, le disciple passionné, Liam Neeson, l’amant brocanteur. Quant à Alan Bates, magnétique, il campe le mari compositeur qui ne saura pas plus faire face à la mort qu’il n’a su faire face à la vie. Kontchalovski sait aussi très bien filmer la musique de Bach, dans cette histoire de survie qui aborde les grands thèmes de l’existence : la maladie, la mort, la solitude, l’amour. Une mélodie du malheur pour un beau mélo.