Générique
Réalisateur :
Howard Hawks
Assistant réalisateur :
Tom Connors Jr.
Scénaristes :
John Fenton Murray, Steve McNeil, Leigh Brackett
Auteur de l'oeuvre originale :
Pat Frank d'après la nouvelle "The Girl Who Almost Got Away"
Sociétés de production :
Universal Pictures, Laurel Productions, Gibraltar Productions
Producteur :
Howard Hawks
Producteur associé :
Paul Helmick
Directeur de production :
Terence Nelson
Distributeur d'origine :
Universal Pictures
Directeur de la photographie :
Russell Harlan
Ingénieurs du son :
Joe Lapis, Waldon O. Watson
Compositeur de la musique originale :
Henry Mancini
Auteur des chansons originales :
Johnny Mercer la chanson "Man's Favorite Sport"
Directeurs artistiques :
Alexander Golitzen, Tambi Larsen
Décorateur :
Robert Priestly
Costumier :
Edith Head
Maquilleur :
Bud Westmore
Monteur :
Stuart Gilmore
Script :
Bruce Kessler
Créateur du générique :
Wayne Fitzgerald
Cascadeurs :
Ted White, Fred Zendar
Interprètes :
Rock Hudson (Roger Willoughby), Paula Prentiss (Abigail Page), Maria Perschy (Isolde "Easy" Mueller), John McGiver (William Cadwalader), Charlene Holt (Tex Connors), Roscoe Karns (le major Phipps), James Westerfield (un policier), Norman Alden (John Screaming Eagle), Forrest Lewis (Skaggs), Regis Toomey (Bagley), Tyler McVey (Bush), Kathie Browne (Marcia), Molly Bee (une chanteuse), Paul Bryar (le barman), Bill Cassady (un client du bar), Edy Williams (une fille), Ed Stoddard (l'escorte), Joan Tewkesbury (une femme dans l'ascenseur), Betty Hanna (une femme dans l'ascenseur), Holger Bendixen (un pêcheur), Joan Boston (Joan), Med Flory (Tucker), Elise Kraal (une fille à moto), Paul Langton (Jim Stern), Ollie O'Toole (un serveur), Margaret Sheridan (Maggie, la secrétaire de Cadwalader), Edmund Williams (Harry, l'employé de bureau), Christopher White (un boy scout), Dianne Simpson (une liftière), Lincoln Demyan (l'animateur des scouts), Jim Bannon (le garde forestier), Tom Allen
« Roger doit subir des frustrations et humiliations sans nombres de la part d'une femme arrogante » écrit Hawks dans sa note d'intention. Plus de dix ans après sa dernière incursion dans le genre, le cinéaste souhaite renouer avec la screwball comedy. Tourné au moment où l'Âge d'or hollywoodien se ternit irrémédiablement, Le Sport favori de l'homme n'est pas qu'une nouvelle métaphore filée sur le sujet de prédilection de son auteur. C'est aussi la dernière comédie de Hawks, qui tire sa révérence avec une élégance suprême, se jouant avec malice des critiques européens qui l'ont porté au pinacle avec feu.