Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Une belle tigresse X, Y and Zee
Brian G. Hutton
États-Unis / 1970 / 110 min
Avec Elizabeth Taylor, Michael Caine, Susannah York.
Les relations tumultueuses entre un homme, sa femme, et sa maîtresse.
« Impétueuse et pulpeuse, l’œil noir et le buste agressif, Elizabeth Taylor est la grande vedette de cette longue scène de ménage. Plus encore, elle est la raison d’être de ce film. Le film est ce qu’est l’actrice. Si Elizabeth Taylor est drôle, on rit. Si elle se déchaîne, on admire. Quand elle n’est pas là, la tension retombe malgré la désinvolture de Michael Caine et le talent de Suzannah York. » (France Soir, 1972)
Générique
Réalisateur :
Brian G. Hutton
Assistant réalisateur :
Colin Brewer
Scénariste :
Edna O'Brien
Sociétés de production :
Columbia Pictures, Zee Films
Producteurs :
Jay Kanter, Alan Ladd Jr.
Producteur exécutif :
Elliott Kastner
Distributeur d'origine :
Warner-Columbia Film
Directeur de la photographie :
Billy Williams
Cadreur :
David Harcourt
Ingénieurs du son :
Cyril Swern, Bob Jones
Compositeur de la musique originale :
Stanley Myers
Directeur artistique :
Peter Mullins
Décorateur :
Arthur Taksen
Costumiers :
Beatrice Dawson, Sergio Soldano pour les fourrures
Maquilleur :
Alex Garfath
Coiffeur :
Allan McKeown
Monteur :
Jim Clark
Script :
Penny Daniels
Interprètes :
Elizabeth Taylor (Zee Blakeley), Michael Caine (Robert Blakeley), Susannah York (Stella), Margaret Leighton (Gladys), John Standing (Gordon), Mary Larkin (Rita), Michael Cashman (Gavin), Gino Melvazzi (le maître d'hôtel), Hilary West (Shaun), Richard O'Brien (l'invité), James Payne (le chauffeur de taxi)
« Impétueuse et pulpeuse, l’œil noir et le buste agressif, Elizabeth Taylor est la grande vedette de cette longue scène de ménage. Plus encore, elle est la raison d’être de ce film. Le film est ce qu’est l’actrice. Si Elizabeth Taylor est drôle, on rit. Si elle se déchaîne, on admire. Quand elle n’est pas là, la tension retombe malgré la désinvolture de Michael Caine et le talent de Suzannah York. » (France Soir, 1972)