Générique
Réalisateur :
Robert Altman
Assistants réalisateurs :
Tommy Thompson, Alan Rudolph
Scénariste :
Leigh Brackett
Auteur de l'oeuvre originale :
Raymond Chandler d'après le roman "The Long goodbye"
Sociétés de production :
United Artists, Lion's Gate Films, Elliott Kastner Productions
Producteur :
Jerry Bick
Producteur associé :
Robert Eggenweiler
Producteur exécutif :
Elliott Kastner
Distributeur d'origine :
United Artists
Directeur de la photographie :
Vilmos Zsigmond
Cadreur :
Joe Wilcots
Ingénieur du son :
John Speak
Mixeur :
Richard J. Vorisek
Compositeur de la musique originale :
John Williams
Costumiers :
Kent James pour les hommes, Marjorie Wahl pour les femmes
Maquilleur :
Bill Miller
Coiffeur :
Lynda Gurasich
Monteur :
Lou Lombardo
Script :
Adele Bravos
Directeur de casting :
Joan Tewkesbury
Interprètes :
Elliott Gould (Philip Marlowe), Nina Van Pallandt (Eileen Wade), Sterling Hayden (Roger Wade), Mark Rydell (Marty Augustine), Henry Gibson (le docteur Verringer), David Arkin (Harry), Warren Berlinger (Morgan), Jo Ann Brody (Jo Ann Eggenweiler), Jim Bouton (Terry Lennox), Steve Coit (l'inspecteur Farmer), Jack Knight (Mabel), Pepe Callahan (Pepe), Vince Palmieri (Vince), Pancho Cordoba (le médecin), Enrique Lucero (Jefe), Rutanya Alda (Rutanya Sweet), Tammy Shaw (la danseuse), Jack Riley (le pianiste), Ken Sansom (le vigile), Jerry Jones (l'inspecteur Green), John Davies (l'inspecteur Dayton), Rodney Moss (l'employé du supermarché), Sybil Scotford (Sybil Tooksbury), Hubie Kerns (Herbie), Leslie Simms (Olive), Leslie McRay (Lucille), David Carradine (le prisonnier), Arnold Schwarzenegger (le culturiste), Kate Murtagh (l'infirmière), Danny Goldman (le barman), Tracy Harris (un inspecteur)
« Le détective, incarné avec une nonchalance gouailleuse par Elliott Gould, est ici un personnage inadapté, infantile, dont l'attachement pour son chat souligne la profonde solitude. Avec ses chevauchements de dialogues abondants et sarcastiques, ses situations poussées parfois jusqu'au burlesque, sa violence raréfiée mais saisissante, son intrigue confuse, le film d'Altman n'hésite pas à brouiller les cartes et à remettre en cause les mécanismes du film noir traditionnel, dont il respectera pourtant, au bout du compte, les grands principes : une vision désabusée de l'humanité et une exaltation de l'individualisme. »
(Jean-François Rauger)