Générique
Réalisateur :
Oliver Stone
Assistants réalisateurs :
Seth Cirker, Paul Byrne Prenderville
Scénariste :
John Ridley
Auteur de l'oeuvre originale :
John Ridley d'après le roman "Stray dogs"
Sociétés de production :
Phoenix Pictures, Illusion Entertainment Group, Clyde is hungry Films, Canal+
Producteurs :
Dan Halsted, Clayton Townsend, Richard Rutowski
Producteur associé :
Bill Brown
Producteur exécutif :
John Ridley
Directeur de production :
Clayton Townsend
Distributeur d'origine :
Columbia TriStar Films
Directeur de la photographie :
Robert Richardson
Cadreur :
Jerry G. Callaway
Ingénieur du son :
Gary Alper
Mixeur :
Gary Alper
Compositeur de la musique originale :
Ennio Morricone
Créateur des décors :
Victor Kempster
Directeur artistique :
Dan Webster
Décorateur :
Merideth Boswell
Costumiers :
Beatrix Aruna Pasztor, Michelle Kurpaska
Maquilleurs :
John Blake, Mark R. Sanchez, Ken Diaz pour Jon Voight
Coiffeurs :
Cydney Cornell, Melissa Yonkey, Dino Ganziano pour Jon Voigt
Monteurs :
Hank Corwin, Thomas J. Nordberg
Script :
Corey B. Yugler
Directeur de casting :
Mary Vernieu
Créateur du générique :
C.Y. Lee
Coordinateur des effets spéciaux :
Mark Hendersheid
Cascadeur :
Tierre Turner
Interprètes :
Sean Penn (Bobby Cooper), Jennifer Lopez (Grace McKenna), Nick Nolte (Jake McKenna), Powers Boothe (le shérif Potter), Claire Danes (Jenny), Joaquin Phoenix (Toby N. Tucker), Billy Bob Thornton (Darrell), Jon Voight (l'aveugle), Abraham Benrubi (un biker), Richard Rutowski (un biker), Julie Hagerty (Flo), Bo Hopkins (Ed), Valery Nikolaev (Monsieur Arkady), Aida Linares (Jamilla), Sean Stone (le garçon dans l'épicerie), Ilia Volokh (Sergi), Brent Briscoe (Boyd), Annie Mei-Ling Tien (la cuisinière), Sheri Foster (la mère de Grace), Laurie Metcalf (l'employée de la société de bus), Liv Tyler (la fille dans le bus)
Le recours à des procédés analogiques photochimiques particuliers lui confère à U-Turn une dimension absolument unique, et le film peut être considéré comme un adieu nostalgique à l'argentique. Les traitements photochimiques tels que le procédé de quadrichromie ENR de Technicolor ou encore l'utilisation d'un négatif inversible, provoquent des dérives colorimétriques en accord parfait avec le rapport fond/forme volontairement déjanté du film.
Jean-Pierre Verscheure