Générique
Réalisateur :
Paco Plaza
Assistants réalisateurs :
Ana Hernando, Carmen Dopico, Coline Perruchon, Rafa Rojas-Díez
Scénariste :
Carlos Vermut
Sociétés de production :
ICAA - Instituto de la cinematografía y de las artes audiovisuales (Madrid), Les Films du Worso (Paris), Apache Film (Madrid), Eurimages
Producteurs :
Enrique López Lavigne, Sylvie Pialat, Alejandro Arenas
Producteur délégué :
Pilar Robla
Distributeur d'origine :
Wild Bunch Distribution (Paris)
Directeur de la photographie :
Daniel Fernández Abelló
Cadreurs :
David Acereto, Oriol Busquets
Opérateur steadycam :
Ramón Sánchez
Ingénieurs du son :
Diana Sagrista, Stéphane Gessat
Compositeur de la musique originale :
Fatima Al Qadiri
Directeur artistique :
Laia Ateca
Costumier :
Vinyet Escobar
Monteur :
David Gallart
Script :
Raúl Acín
Directeurs de casting :
Arantza Vélez, François Rivière
Graphiste :
Laura Millán
Coordinateur des effets spéciaux :
Raúl Romanillos
Coordinateurs des effets visuels :
Thomas Duval, Ferran Piquer
Cascadeur :
Miguel Arregui
Interprètes :
Almudena Amor (Susana), Véra Valdez (Pilar), Karina Kolokolchykova (Eva), Pierre-François Garel (Eric), Marina Gutiérrez (Adela), Berta Sánchez (Susana, enfant), Alba Bonnin (Eva, enfant), Gabriela Calonfirescu (Julia), Ileana Wilson (le docteur Romero), Chacha Huang (la serveuse), Mikel Godoy (un homme à l'agence), Pia Hessel (une femme à l'agence), Jose Emilio Gimeno (le conducteur du vehicule accidenté), Zoe Alayrangues (Zoe), Pia Laborde-Noguez (la jeune femme à la soirée), Michael Collis (le passager), Marta Crespo (la voix de l'infirmière), Esther Vaquero (la voix de la présentatrice du journal)
Le retour de Paco Plaza. Le virtuose espagnol de la terreur imagine un huis clos terrifiant, la cohabitation d'une jeune femme et de sa grand-mère. La peur est provoquée ici tout autant par une rhétorique parfaite et effrayante que par la conscience de l'existence d'une relation toxique voire vampirique entre une vieille femme et sa petite-fille, loin des clichés sentimentaux et rassurants. Il n'y a pas d'amour familial, il n'y a que des désirs de mort.