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La conclusion de la « trilogie du mal », après Général Idi Amin Dada et L'Avocat de la terreur. Comme dans ses deux précédents documentaires, Schroeder oppose la parole d'un monstre (ici le moine bouddhiste Ashin Wirathu), aux faits et aux images, souvent sans autre forme de procès qu'un simple contrechamp contradictoire. Une pédagogie fondée sur l'intelligence du spectateur.
Générique
Réalisateur :
Barbet Schroeder
Sociétés de production :
Les Films du Losange (Paris), Bande à Part Films (Lausanne)
Coproduction :
Arte France Cinéma, RTS - Radio Télévision Suisse (Genève ; Lausanne), SRG SSR
Producteurs :
Margaret Ménégoz, Lionel Baier
Distributeur d'origine :
Les Films du Losange (Paris)
Directeur de la photographie :
Victoria Clay Mendoza
Mixeur :
Florian Eidenbenz
Compositeur de la musique originale :
Jorge Arriagada
Monteur :
Nelly Quettier
Interprètes :
U. Zanitar (dans son propre rôle), Kyaw Zayar Htun (dans son propre rôle), U. Kaylar Sa (dans son propre rôle), Matthew Smith (dans son propre rôle), Abdul Rasheed (dans son propre rôle), Carlos Sardiña-Galache (dans son propre rôle), U. Galonni (dans son propre rôle), Bulle Ogier (la petite voix bouddhiste)
La conclusion de la « trilogie du mal », après Général Idi Amin Dada et L'Avocat de la terreur. Comme dans ses deux précédents documentaires, Schroeder oppose la parole d'un monstre (ici le moine bouddhiste Ashin Wirathu), aux faits et aux images, souvent sans autre forme de procès qu'un simple contrechamp contradictoire. Une pédagogie fondée sur l'intelligence du spectateur.