Réouverture des salles le 2 janvier 2026, à l’issue d’un mois de traitement intensif et rigoureux des espaces, comprenant un traitement approfondi des fauteuils et des moquettes, ainsi que des contrôles canins renforcés. L’efficacité de ces mesures permet de garantir des conditions d’accueil optimales, avec des salles certifiées exemptes de punaises de lit.
Adieu au langage
Jean-Luc Godard
France / 2012 / 70 min
Avec Héloïse Godet, Kamel Abdelli, Richard Chevallier.
« Un deuxième film commence le même que le premier et pourtant pas de l'espèce humaine on passe à la métaphore. » (JLG, 2014)
« Le propos est simple. Une femme mariée et un homme libre se rencontrent. Ils s'aiment, se disputent, les coups pleuvent. Un chien erre entre ville et campagne. Les saisons passent. L'homme et la femme se retrouvent. Le chien se trouve entre eux. L'autre est dans l'un. L'un est dans l'autre. Et ce sont les trois personnes. L'ancien mari fait tout exploser. Un deuxième film commence. Le même que le premier. Et pourtant pas. De l'espèce humaine on passe à la métaphore. Ça finira par des aboiements. Et des cris de bébé. » (Jean-Luc Godard)
Générique
Réalisateur :
Jean-Luc Godard
Assistant réalisateur :
Jean-Paul Battaggia
Scénariste :
Jean-Luc Godard
Société de production :
Wild Bunch (Paris)
Producteurs :
Brahim Chioua, Vincent Maraval, Alain Sarde
Distributeur d'origine :
Wild Bunch Distribution (Paris)
Directeur de la photographie :
Fabrice Aragno
Costumier :
Maria Muscalu
Maquilleur :
Oriane Cattiaux
Monteur :
Jean-Luc Godard
Interprètes :
Héloïse Godet, Kamel Abdelli, Richard Chevallier, Zoé Bruneau, Jessica Erickson, Alexandre Païta, Jean-Philippe Mayerat, Florence Colombani, Nicolas Graf, Christian Gregori, Marie Ruchat, Jérémy Zampatti, Daniel Ludwig, Gino Siconolfi
« Le propos est simple. Une femme mariée et un homme libre se rencontrent. Ils s'aiment, se disputent, les coups pleuvent. Un chien erre entre ville et campagne. Les saisons passent. L'homme et la femme se retrouvent. Le chien se trouve entre eux. L'autre est dans l'un. L'un est dans l'autre. Et ce sont les trois personnes. L'ancien mari fait tout exploser. Un deuxième film commence. Le même que le premier. Et pourtant pas. De l'espèce humaine on passe à la métaphore. Ça finira par des aboiements. Et des cris de bébé. » (Jean-Luc Godard)