Générique
Réalisateur :
Catherine Breillat
Assistant réalisateur :
Michaël Weill
Auteur de l'oeuvre originale :
Jules Amédée Barbey d'Aurevilly d'après le roman "Une vieille maîtresse"
Sociétés de production :
Flach Films (Paris), CB Films - Catherine Breillat Films, France 3 Cinéma, StudioCanal, Buskin Film (Roma)
Producteur :
Jean-François Lepetit
Directeur de production :
Eddy Jabès
Distributeur d'origine :
StudioCanal
Directeur de la photographie :
Yorgos Arvanitis
Ingénieurs du son :
Yves Osmu, Yves Lévêque, Sylvain Lasseur, Roland Duboué, Emmanuel Croset
Décorateur :
François-Renaud Labarthe
Costumier :
Anaïs Romand
Monteur :
Pascale Chavance
Interprètes :
Asia Argento (Vellini), Fu'ad Ait Aattou (Ryno de Marigny), Roxane Mesquida (Hermangarde), Claude Sarraute (la marquise de Flers), Yolande Moreau (la comtesse d'Artelles), Michel Lonsdale (le vicomte de Prony), Anne Parillaud (Madame de Solcy), Amira Casar (Mademoiselle Marie-Cornélie Falcon), Lio (la chanteuse), Caroline Ducey (la dame de pique), Isabelle Renauld (l'Arrogante), Jean-Philippe Tessé (le comte de Mareuil), Nicholas Hawtrey (Sir Reginald), Léa Seydoux (Oliva), Frédéric Botton (le Cardinal de Flers), Aurélien Foubert (le garçon d'honneur), Jean-Claude Binoche (le comte de Cerisy), Jean-Gabriel Mitterrand (le valet Ryno), Marie-Victoire Debré (la courtisane), Camille Schnebelen (la femme délaissée), Ashley Wanninger (le prétendant de Vellini), Jean-François Lepetit (le Fou du Roi), Thomas Hardy (le valet Mareuil), Ezéquiel Spucches (le pianiste), Eric Bouhier (le chirurgien), Patrick Roig (le médecin du château), Patrick Tétu (le père Griffon), Suzanne Marty (la femme de chambre), Stéphane Hausauer (le valet du château), Daniel Lemoine (le maître d'hôtel), Eric Turanzas (le serviteur du dîner), Josiane Taleux (la fille de cuisine), Alain Connan (le vicaire), Frédéric Laforêt (le témoin anglais), Malika Kadri (la vieille berbère), Azza Souif (la petite fille Vellini), Meïssa Souif (la petite fille Vellini)
Amour, possession, jalousie et malédiction, l'évocation d'une passion mortifère au XIXe siècle. Férue de romantisme noir, Breillat s'empare d'un texte de Barbey d'Aurevilly et retrace la brûlante liaison, entre Paris et la lande normande, d'un dandy libertin et d'une vénéneuse courtisane.