Générique
Réalisateur :
Georg Wilhelm Pabst
Assistant réalisateur :
André Michel
Scénaristes :
Irma vonCube, Leo Birinski, Herman J. Mankiewicz
Dialoguiste :
Jacques Natanson
Société de production :
Les Films Trocadéro
Producteur :
Romain Pinès
Directeur de production :
Constantin Geftman
Distributeur d'origine :
Les Artistes Associés
Directeurs de la photographie :
Eugene Schufftan, Paul Portier
Ingénieur du son :
Robert Teisseire
Compositeurs de la musique originale :
Arthur Honegger, Louis Poterat, Casimir Oberfeld
Décorateurs :
Serge Pimenoff, Robert Hubert
Costumier :
Georges Annenkov
Monteurs :
Marc Sorkin, Louisette Hautecoeur
Script :
Jacqueline Audry
Interprètes :
Dita Parlo (Anne-Marie Lesser, dite Mademoiselle Docteur), Louis Jouvet (Simonis), Charles Dullin (le Colonel Matthesius), Pierre Fresnay (le Capitaine Georges Carrère), Pierre Blanchar (Gregor Courdane, alias Condoyan), Robert Seller (le garçon de café), Viviane Romance (Gaby), Charlotte Barbier-Krauss (la tenancière), Marguerite deMorlaye (la dame de la Croix-Rouge), Roger Karl (le colonel Bourget), Georges Colin (le major Jacquart), Ernest Ferny (le capitaine Louvier), Jean-Louis Barrault (le client fou), Gaston Modot (le patron de café), Marcel Lupovici (Alexandre), Jacques Henley (le consul des Etats-Unis), René Bergeron (le Grec), Robert Manuel (un invité au consulat), Léon Larive (le gros acheteur), Georges Péclet (Gregorieff), André Siméon (un joueur de cartes), Hugues deBagratide (le joueur au tripot), Dorville (le planton chloroformé), Franck Maurice (l'homme de main), Pierre Ferval (un soldat), Jacques Beauvais (le chef de réception), Jacques Desagneaux (le marin au tripot), Pierre Louis (le jeune homme au café chantant), Robert Ozanne (l'officier français), Teddy Michaut (un joueur de cartes), Jacques Erwin, Albert Malbert, Louis Vonelly
« En 1936, Pabst est revenu en France, déçu de son séjour à Hollywood soldé par un seul film. Il aborde un genre nouveau pour lui, le film d’espionnage à contexte exotique : Salonique, nid d’espions et Le Drame de Shanghaï, deux films mal jugés. Pabst évolue à l’aise à travers les motifs du genre : belle espionne, amours tragiques, mots de passe chantés au cabaret, trahisons, rapt, assassinats. Dita Parlo en Mademoiselle Docteur, Christl Mardayn en agent du Dragon noir, éclairées par Shufftan, habillées par Annenkov, incarnent un nouveau type de femme, d’une beauté plus douce, plus lumineuse, pensive. Le regard tourné vers le haut, elle parle de nostalgie, d’un passé perdu, d’un possible qui s’éloigne. » Andrée Tournès (Jeune Cinéma, novembre 1997)
Film également connu sous le titre Mademoiselle Docteur.