Générique
Réalisateur :
Terence Young
Réalisateur seconde équipe :
Bernard Farrel
Assistants réalisateurs :
Christian Raoux, Ricardo Huertas
Scénaristes :
Laird Koenig, Denne Bart Petitclerc, William Roberts, Lawrence Roman
Auteur de l'oeuvre originale :
Laird Koenig d'après une histoire
Sociétés de production :
Les Films Corona (Paris), Oceania Produzioni Internazionali Cinematografiche (Roma), Balcázar Producciones Cinematográficas (Barcelone)
Producteur :
Ted Richmond
Producteur exécutif :
Robert Dorfmann
Directeurs de production :
Serge Lebeau, Julio Vallejo
Distributeur d'origine :
Les Films Corona (Paris)
Directeur de la photographie :
Henri Alekan
Cadreurs :
Cesare Allione, Henri Tiquet
Ingénieur du son :
William Robert Sivel
Compositeur de la musique originale :
Maurice Jarre
Directeurs artistiques :
Henry Alarcon, Paul Apoteker
Décorateur :
Tony Roman
Costumier :
Tony Pueo
Maquilleur :
Alberto De Rossi
Coiffeur :
Alain Scemama
Monteurs :
Lou Lombardo, Johnny Dwyre
Script :
Joan Davis
Coordinateur des effets spéciaux :
Karl Baumgartner
Coordinateur des effets sonores :
Daniel Couteau
Interprètes :
Charles Bronson (Link), Toshirô Mifune (Kurona), Alain Delon (Gotch), Ursula Andress (Cristina), Capucine (Pepita), Bart Barry (Paco), Guido Lollobrigida (Mace), Anthony Dawson (Hyatt), John Hamilton (Miguel), Georges Lycan (le shérif Stone), Luc Merenda (Chato), Satoshi Nakamura (l'ambassadeur japonais), Julio Peña (Pappie), Mónica Randall (Maria), Hiroshi Tanaka (le samouraï), Jo Nieto, John B. Vermont
« Soleil rouge est signé du cinéaste britannique Terence Young qui, après quelques films de guerre, avait réalisé quelques titres de la série des James Bond, signe ce curieux western, fruit d'une coproduction franco-italienne. Le japonais Toshiro Mifune y croise le français Alain Delon et la suisse Ursula Andress. Le film, sorte de joyeux minestrone cinématographique, entremêle les fusillades et les attaques d'Indiens issues des récits de l'Ouest avec la chorégraphie des films de sabre nippons, le tout rehaussé par la plastique fascinante d'Ursula Andress. » (Jean-François Rauger)