Générique
Réalisateur :
Lewis Gilbert
Réalisateur seconde équipe :
Ernest Day
Assistants réalisateurs :
Tony Cech, Milos Kohout
Scénariste :
Ronald Harwood
Auteur de l'oeuvre originale :
Alan Burgess d'après le roman "Seven Men at Daybreak "
Sociétés de production :
American Allied Pictures, Ceskoslovensky Filmexport (Praha), Filmové Studio Barrandov
Producteur :
Carter De Haven Jr.
Producteur associé :
Stanley O'Toole
Directeur de production :
Rudolf Wolf
Distributeur d'origine :
Warner-Columbia Film
Directeur de la photographie :
Henri Decaë
Ingénieur du son :
Cyril Swern
Mixeur :
Doug Turner
Compositeur de la musique originale :
David Hentschel
Directeurs artistiques :
William McCrow, Bob Kulic en Tchécoslovaquie
Monteur :
Thelma Connell
Régisseur :
Mike Smrcek en Tchécoslovaquie
Coordinateur des effets spéciaux :
Roy Whybrow
Photographe de plateau :
George Whitear
Interprètes :
Timothy Bottoms (Jan Kubis), Martin Shaw (Karel Curda), Joss Ackland (Janak), Nicola Pagett (Anna), Anthony Andrews (Josef Gabcik), Kika Markham (Tereza), Anton Diffring (Reinhard Heydrich), Carl Duering (Karl Frank), Diana Coupland (tante Marie), Ronald Radd (le mari de tante Marie), Kim Fortune (Ata), Cyril Shaps (le père Petrek), Pavla Matejovská (Jindriska), Ray Smith (Hajek), Timothy West (Vaclav), Anne Lonnberg (Sonja), Vernon Dobtcheff (Piotr), Reinhardt Kolldehoff (Fleischer), George Sewell (Panwitz), William Lucas (le médecin), Frank Gatliff (le chirurgien), Josef Stoll (Sefrna), Ludvík Wolf (Klein), Nigel Stock (le général), Philip Madoc, Jirí Krampol, Josef Abrhám, Jaroslav Drbohlav, Aubrey Woods, Cyril Cross, Radoslav Dubansky, Josef Laufer, Vitezslav Jandak, Neil McCarthy, Gertan Klauber, John Abineri, Keith James
« Sept hommes à l'aube, de l'inusable et anonyme Lewis Gilbert, date de 1976, floraison tardive du genre. Après Douglas Sirk et son Hitler's Madman en 1943, après Fritz Lang et Les Bourreaux meurent aussi la même année, le film de Gilbert reprend, d'une façon plus méticuleuse même si moins séduisante, le récit de l'assassinat, par des agents britanniques et des résistants tchèques, de Reinhard Heydrich, protecteur du Reich qui régnait sur la Tchécoslovaquie. La relative sécheresse dans la description des relations entre les personnages, la persistance de ce refus caractéristique du pathos, concourent paradoxalement à souligner de façon à la fois distanciée et précise la brutalité des événements décrits. Heydrich est incarné superbement par le formidable Anton Diffring. » (Jean-François Rauger)