Générique
Réalisateur :
Fritz Lang
Assistant réalisateur :
Walter Wischniewsky
Scénaristes :
Fritz Lang, Heinz Oskar Wuttig
Auteur de l'oeuvre originale :
Norbert Jacques d'après le personnage du roman "Dr. Mabuse, der Spieler", Jan Fethke d'après une idée
Sociétés de production :
CCC-Film - Central Cinema Compagnie-Film GmbH (Berlin), Critérion Films (Paris), CEI-Incom (Roma)
Producteur :
Arthur Brauner
Directeur de production :
Alfred Bittins
Distributeurs d'origine :
Imperia Films, SNC - Société Nouvelle de Cinématographie
Directeur de la photographie :
Karl Löb
Cadreurs :
Karl-Heinz Linke, Ernst Zahrt
Ingénieur du son :
Eduard Kessel
Compositeur de la musique originale :
Bert Grund
Compositeur de la musique préexistante :
Werner Müller version instrumentale de la chanson "Schau ich zum Himmelszelt"
Décorateurs :
Erich Kettelhut, Johannes Ott
Costumier :
Ina Stein
Maquilleur :
Heinz Stamm
Monteurs :
Walter Wischniewsky, Waltraud Wischniewsky
Régisseurs :
Richard Oehlers, Josef Thuis
Photographes de plateau :
Arthur Grimm, Günther Krau
Interprètes :
Dawn Addams (Marion Menil), Peter Van Eyck (Henry B. Travers), Gert Fröbe (le commissaire Kras), Wolfgang Preiss (le professeur Jordan et le Peter Cornelius), Kurt Ackermann (la voix de Peter Cornelius), Werner Peters (Hieronymus B. Mistelzweig), Andrea Checchi (Berg), Marieluise Nagel (la joie blonde), Reinhardt Kolldehoff (le pied bot), Howard Vernon (Numéro 12), Nico Pepe (le gérant de l'hôtel), Jean-Jacques Delbo (le serveur), David Cameron (Parker), Linda Sini (Corinna), Werner Buttler (Numéro 11), Rolf Moebius (l'officier de police), Bruno W. Pantel (le premier journaliste), Albert Bessler (l'ingénieur de l'hôtel), Renate Küster (la présentatrice TV), Rolf Weih (le chef de l'Interpol), Lotte Alberti (Soeur Agnès), Manfred Grote (Keyser), Maria Milde (la femme de chambre), Dieter Hallervorden (le photo-reporter), Wolfgang Völz (Karl, le barman)
L'avatar du génie du mal que Lang a rendu célèbre à travers deux premiers épisodes, se réveille, plus décidé que jamais à désintégrer l'humanité. À l'aube des années 1960, il revient en prophète d'une société ultrasurveillée. Caméras, écrans et glace sans tain constituent les mille yeux de ce Mabuse épatant, qui mêle avec délice espionnage, astrologie et épouvante, clôturant la filmographie d'un génie absolu du cinéma.