La Terre des pharaons

La Terre des pharaons Land of the Pharaohs

Howard Hawks
États-Unis / 1954 / 116 min

Avec Jack Hawkins, Joan Collins, James Robertson Justice, Dewey Martin.

Égypte, 3000 ans avant J.-C. Le pharaon Khéops engage un esclave architecte, Vashtar, à qui il promet la liberté pour son peuple s'il lui édifie la plus inviolable et la plus majestueuse des sépultures. Entretemps, Khéops tombe amoureux de la belle et machiavélique Nellifer.

Howard Hawks s'attaque à la fresque historique, et adopte pour la première fois le Cinémascope, « propice à filmer la foule et les milliers de figurants ». Aidé à l'écriture par William Faulkner, et surtout par les millions de dollars que Jack Warner injecte dans cette superproduction, il livre un récit épique, au souffle puissant. Dans une Égypte de carte postale destinée à un public américain féru d'exotisme, et qui doit beaucoup aux décors d'Alexandre Trauner, se mêlent la mégalomanie et la mort. Du grand spectacle.


Générique

Réalisateur : Howard Hawks
Assistants réalisateurs : Paul Helmick, Chuck Hansen, Jean-Paul Sassy
Scénaristes : Harry Kurnitz, William Faulkner, Harold Jack Bloom
Sociétés de production : Warner Bros., Continental Company
Producteur : Howard Hawks
Producteurs associés : Arthur Siteman, Chuck Hansen
Directeur de production : Chuck Hansen
Directeurs de la photographie : Lee Garmes, Russell Harlan
Ingénieur du son : Oliver S. Garretson
Compositeur de la musique originale : Dimitri Tiomkin
Directeur artistique : Alexandre Trauner
Costumiers : Mayo, Lucilla Mussini
Maquilleur : Emile LaVigne
Coiffeur : Ann Locker
Monteur : Vladimir Sagovsky
Script : Maisie Kelly
Coordinateur des effets spéciaux : Don Steward
Photographe de plateau : Ernst Haas
Interprètes : Jack Hawkins (Khéops), Joan Collins (la princesse Nellifer), Dewey Martin (Senta), Alexis Minotis (Hamar), James Robertson Justice (Vashtar), Luisa Boni (Kyra), Sydney Chaplin (Treneh), James Hayter (Mikka, la domestique de Vashtar), Kerima (Nailla), Piero Giagnoni (le prince Zanin), Carlo D'Angelo (le contremaître)