Générique
Réalisateur :
Damiano Damiani
Assistants réalisateurs :
Aaron Barsky, David A. Ticotin
Scénariste :
Tommy Lee Wallace
Auteur de l'oeuvre originale :
Hans Holzer d'après le roman "Amityville II: The Possession"
Société de production :
Dino De Laurentiis Company
Producteurs :
Stephen R. Greenwald, Ira N. Smith
Producteur associé :
José López Rodero
Producteurs délégués :
Bernard Williams, Dino De Laurentiis
Directeur de production :
G. Mac Brown
Distributeur d'origine :
UGC Distribution
Directeur de la photographie :
Franco Di Giacomo
Cadreur :
Daniele Nannuzzi
Ingénieur du son :
Neil Fallon
Mixeur :
Kim H. Ornitz
Compositeur de la musique originale :
Lalo Schifrin
Créateur des décors :
Pier Luigi Basile
Directeur artistique :
Ray Recht
Décorateur :
George DeTitta Jr.
Costumier :
William Kellard
Maquilleur :
Joe Cuervo
Coiffeur :
Werner Sherer
Monteur :
Sam O'Steen
Script :
Sheila Paige
Cascadeur :
Victor Magnotta
Interprètes :
James Olson (le père Adamsky), Burt Young (Anthony Montelli), Rutanya Alda (Dolores Montelli), Jack Magner (Sonny Montelli), Andrew Prine (le père Tom), Diane Franklin (Patricia Montelli), Moses Gunn (l'inspecteur Turner), Ted Ross (Monsieur Booth), Erika Katz (Jan Montelli), Brent Katz (Mark Montelli), Leonardo Cimino (le recteur), Danny Aiello III (un déménageur), Gilbert Stafford (un déménageur), Petra Leah (Madame Greer), Allan Dellay (le juge), Martin Donegan (l'inspecteur Cortez), John Ring (le chef de la police), Peter Radon (le recteur adjoint), Lawrence Bolen (le responsable des pompes funèbres), Tony Boschetti (le vieil homme dans l'église), John Clohessy (un policier), Hollis Granville (un policier), Frank Patton (un policier), Kim H. Ornitz (un policier), Lindsay Hill (un policier), Rudy Jones (le jardinier), Todd Jamie (l'invité à l'anniversaire), Ken Smith (le médecin de la prison), Anita Keal (une voix du démon), Sondra Lee (une voix du démon), Alice Playten (une voix du démon)
À grand renfort d’effets spéciaux et d’habiles recettes du cinéma d’épouvante (portes qui claquent, sang qui coule du robinet, imprécations infernales), Damiani signe un prequel efficace, une variation sur le mystère de la maison hantée, doublée d’une réflexion sur la religion. Le meilleur opus de la franchise Amityville.