Générique
Réalisateur :
Barbet Schroeder
Assistants réalisateurs :
Henry Bronchtein, Michael DeCasper
Scénariste :
Ted Tally
Sociétés de production :
Caravan Pictures, Hollywood Pictures Company
Producteurs :
Susan Hoffman, Barbet Schroeder
Coproducteur :
Chris Brigham
Producteurs délégués :
Roger Birnbaum, Joe Roth
Directeur de production :
Chris Brigham
Distributeur d'origine :
Les Films du Losange (Paris)
Directeur de la photographie :
Luciano Tovoli
Opérateur steadycam :
Jerry Holway
Mixeur :
Tom Nelson
Compositeur de la musique originale :
Howard Shore
Créateur des décors :
Stuart Wurtzel
Directeur artistique :
Steve Saklad
Décorateur :
Gretchen Rau
Costumier :
Ann Roth
Maquilleurs :
Jean Ann Black, J.Roy Helland pour Meryl Streep
Coiffeurs :
Lori Guidroz, J.Roy Helland pour Meryl Streep
Monteur :
Lee Percy
Script :
Cornelia "Nini" Rogan
Directeur de casting :
Howard Feuer
Créateur du générique :
Robert Dawson
Coordinateur des effets spéciaux :
John D. Milinac
Cascadeurs :
Doug Coleman, Richard Blackwell
Photographe de plateau :
Jim Bridges
Interprètes :
Meryl Streep (Carolyn Ryan), Liam Neeson (Ben Ryan), Edward Furlong (Jacob Ryan), Julia Weldon (Judith Ryan), Alfred Molina (Panos Demeris), Daniel vonBargen (Fran Conklin), John Heard (Wendell Bye), Ann Magnuson (Terry Taverner), Alison Folland (Martha Taverner), Lee Kaiulani (Marian Raynor), Larry Pine (le docteur Tom McAnally), Ellen Lancaster (l'assistante de Panos), Wesley Addy (le juge Grady), Oliver Graney (T.J.), Bernadette Quigley (la mère de T.J.), Pamela Blair (l'assistante du docteur Rayan), John Wylie (le docteur Trygve Hanson), John Deyle (le médecin), Tim Cavanaugh (le jeune policier), John Webber (l'employé de la quincaillerie), Jay Potter (le reporter), Sharon Ullrick (l'huissière), Robert Westenberg (le journaliste), Susan Pratt (la journaliste)
Au titre français passe-partout (Le Poids du déshonneur), on préfèrera sa version originale, Before and After, qui dit mieux l'étude au scalpel, avant-après, d'une famille modèle anéantie par une suspicion d'homicide – ce qui intéresse Schroeder ici, c'est l'amour filial et le poison du soupçon, pas le suspense. Plus qu'un énième film de procès, un drame poignant, merveilleusement interprété.
« Le film de Barbet Schroeder prolonge une tradition perdue de Hollywood, que la télévision n'a reprise qu'en la privant de sa complexité : la tradition prosaïque, fondée à la fois sur la dramaturgie et sur le récit. » (Jean-Claude Biette)