Générique
Réalisateur :
Alain Resnais
Assistants réalisateurs :
Thierry Verrier, Camille Lipmann, Frédéric Caillierez
Scénaristes :
Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri
Dialoguistes :
Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri
Sociétés de production :
Arena Films (Paris), Camera One (Paris)
Coproduction :
France 2 Cinéma, Vega Film AG (Zürich), Greenpoint Films
Producteur :
Bruno Pesery
Producteurs associés :
Michel Seydoux, Ruth Waldburger
Directeur de production :
Catherine Chouridis
Distributeur d'origine :
AMLF
Directeur de la photographie :
Renato Berta
Ingénieur du son :
Pierre Lenoir
Mixeur :
Jean-Pierre Laforce
Compositeur de la musique originale :
Bruno Fontaine
Interprète des chansons préexistantes :
Alain Delon
Décorateur :
Jacques Saulnier
Costumiers :
Jackie Budin, Anne Dunsford-Varenne
Maquilleurs :
Jackie Reynal, Esmé Sciaroni
Coiffeur :
Thomas Nellen
Monteur :
Hervé deLuze
Script :
Sylvette Baudrot
Régisseur :
Didier Carrel
Créateur du générique :
Floc'h
Interprètes :
Pierre Arditi (Claude), Sabine Azéma (Odile Lalande), Jean-Pierre Bacri (Nicolas), André Dussollier (Simon), Agnès Jaoui (Camille Lalande), Lambert Wilson (Marc Duveyrier), Jane Birkin (Jane), Jean-Paul Roussillon (le père), Nelly Borgeaud (le médecin), Charlotte Kady (la cliente de la brasserie), Götz Burger, Jean-Pierre Darroussin, Jacques Mauclair, Pierre Meyrand, Claire Nadeau, Dominique Rozan, Jean-Chrétien Sibertin-Blanc, Bonnafet Tarbouriech, Wilfred Benaïche, Françoise Bertin, Robert Bouvier, Frédérique Cantrel, Jérôme Chappatte, Romaine deNando, Nathalie Jeannet, Delphine Quentin, Geoffroy Thiébaut
« Habitants du monde, réjouissez-vous ! Si toutes les nouvelles ne sont pas bonnes, du moins avez-vous la chance de vivre à l’époque où il est possible de découvrir André Dussollier en garde républicain à cheval chantant Vertiges de l’amour avec la voix de Bashung. Et cela console de nombre d’avanies, soucis et déconvenues. Comme, d’ailleurs, la totalité du quinzième long métrage d’Alain Resnais, dont le premier enjeu est non pas de “distraire”, au sens méprisant du mot, mais de jouer en finesse et avec humour sur la manière dont chacun s’arrange avec l’existence, pour la rendre un peu moins invivable. » (Jean-Michel Frodon, 1997)
Avec cette comédie où les dialogues finissent en tubes, Alain Resnais retrouve, après Smoking/No Smoking, Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri. Ils signent ensemble une merveille de drôlerie, un enchantement pour le spectateur qui savoure ce récit aux multiples personnages, tel un jeu d’assemblages, de fuites et de recompositions.