Générique
Réalisateur :
Christopher Nolan
Scénaristes :
Christopher Nolan, Jonathan Nolan
Sociétés de production :
Warner Bros. Entertainment France, Legendary Pictures (Burbank), Syncopy (London)
Producteurs :
Christopher Nolan, Emma Thomas, Lynda Obst
Producteurs exécutifs :
Jordan Goldberg, Jake Myers, Kip Thorne, Thomas Tull
Distributeur d'origine :
Warner Bros. Pictures France
Directeur de la photographie :
Hoyte Van Hoytema
Compositeur de la musique originale :
Hans Zimmer
Décorateur :
Nathan Crowley
Costumier :
Mary Zophres
Monteur :
Lee Smith
Coordinateur des effets visuels :
Paul Franklin
Interprètes :
Matthew McConaughey (Cooper), Anne Hathaway (Amelia Brand), Jessica Chastain (Murph), Bill Irwin (la voix de Tars), Ellen Burstyn (Murph agée), Mackenzie Foy (Murph enfant), John Lithgow (Donald), Timothée Chalamet (Tom enfant), Wes Bentley (Doyle), Topher Grace (Getty), Michael Caine (le professeur Brand), Matt Damon (le docteur Mann), Casey Affleck (Tom), Collette Wolfe (Madame Kelly), Leah Cairns (Lois), David Oyelowo (le principal), Josh Stewart (la voix de Case), William Devane (un membre de la Nasa), Jeff Hephner (le médecin), David Gyasi (Romilly), Lena Georgas (l'infirmière), Liam Dickinson (Coop), Mark Casimir Dyniewicz (l'inspecteur de la Nasa), Kristian Van der Heyden (le scientifique), Francis X. McCarthy (le fermier), Marlon Sanders (Jenkins), Alexander Michael Helisek (le patron), Andrew Borba (Smith), William Patrick Brown (un employé de la Nasa), Benjamin Hardy (un scientifique de la Nasa)
Son gigantisme, son entame monumentale, son casting et l’imposant format 70mm font d’Interstellar un spectacle total, une super-production d’une ambition démesurée qui se rêve – Nolan ne s’en est jamais caché – l’équivalent contemporain de 2001, Odyssée de l’espace. Si le film n’atteint pas la profondeur métaphysique du chef-d’œuvre de Kubrick, il bouleverse de manière inattendue, par son intimisme chuchoté : le monstre opératique cache en son sein un orchestre de chambre, et les trompettes majestueuses de Hans Zimmer un adagio sur le temps qui passe, les occasions manquées, l’amour infini d’un père pour sa fille.
« Ce que les esprits chagrins ne voient pas dans Interstellar, c’est sa puissance folle, comment il mêle avec grâce le cosmique et l’intime, avec cette manière de chercher l’infini dans les plus petits détails humains. » (Peter Travers, Rolling Stone US)