Grâce à son sens de l'imagination et de la synthèse, Gruault n'a pas son pareil pour tirer profit des morceaux choisis par Truffaut et d'une masse de documents disparates. Il met en mots l'atmosphère, le ton, les thèmes, et donne une structure au récit, offrant à Truffaut la matière première dont il a besoin pour "sculpter" le film qu'il imagine.