Catalogue des appareils cinématographiques de la Cinémathèque française et du CNC

Accueil > Collection > Stéréoscope à vues fixes cinématographiques

Stéréoscope à vues fixes cinématographiques

N° Inventaire : AP-95-1284

Collection : La Cinémathèque française

Catégorie d'appareil : Stéréoscopie

Nom du modèle : Stéréoscope à vues fixes cinématographiques Gédescope

Lieu de fabrication : Paris, France

Année de fabrication : 1913

Brevet : Georges Dreyfus, brevet français n° 467 644, demandé le 2 avril 1913, délivré le 3 avril 1914, "Jouet optique".

Fiche détaillée

Type de l'appareil

boîtier en bois recouvert de papier imitation cuir, pourvue de deux lentilles permettant de visionner un couple de vues cinématographiques fixes extraites de films Gaumont

Auteurs

Dreyfus Georges
Paris

Fabricants

Georges Dreyfus
Paris, 65 Faubourg Poissonnière

Utilisateurs

Dreyfus Georges
Paris

Distributeurs

Informations non disponibles

Sujet du modèle

Informations non disponibles

Objectif

2 lentilles 1 cm Ø

Taille de l'objet

Ouvert :
Informations non disponibles

Fermé :
Longueur : 8.4 cm
Largeur : 10.8 cm
Hauteur : 3.3 cm

Diamètre :
Informations non disponibles

Taille de la boîte de transport

Informations non disponibles

Remarques

Marque"Gédescope Be S.G.D.G.- Films collection Gaumont. Georges Dreyfus. Paris"

On peut voir dans cette visionneuse stéréoscopique les images des grands films Gaumont interprétés par Renée Carl, Bout de Zan, etc., de même que de nombreux documentaires. Ce jouet a été commercialisé sous trois formes : en version stéréoscopique, "monoscopique" avec boîte en carton et boîte en cuir. La marque Gédéscope a été déposée à Paris le 30 avril 1913 par Georges Dreyfus.

Voir la version monoscopique en carton : AP-10- 2591.

"Cette invention se rapporte à un jouet optique comprenant : soit une chambre noire tronc pyramidale pourvue d'un trou ou oculaire ou d'un objectif et à l'opposé d'une paroi dépolie et percée d'une fente pour livrer passage à des cadres rigides munis chacun, dans une fenêtre, d'un film transparent ; soit d'une chambre noire tronc pyramidale combinée avec une boîte, fixe ou amovible, renfermant un tambour rotatif sur lequel sont assujettis, par un de leurs côtés, des cadres semi-rigides pourvus chacun, dans une fenêtre, d'un film transparent ; soit enfin une chambre noire prismatique renfermant deux miroirs inclinés" (Georges Dreyfus, brevet français n° 467 644, demandé le 2 avril 1913, délivré le 3 avril 1914, "Jouet optique").



.